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  • : La Chaine d'Union
  • : Lettre d'actualité, avec un apport de symbolisme, et de spiritualité, accés le plus souvent sur un axe Moyen- Orient, Europe, et Amérique du Nord.
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11 février 2007 7 11 /02 /février /2007 13:38
 

Quand PATRICK SAINT-PAUL, correspondant du figaro à Jérusalem, va-t-il touver son chemin de Damas ?
Voilà des années qu'il nous ment sur l'essentiel, en nous livrant quelques éléments de la réalité, roulés dans une épaisse couche de mensonge. 
C'est la technique du pâté d'alouette : une alouette de vérité pour un cheval de mensonges.
 
Je le cite :
..."Les fidèles juifs ont été évacués du mur des Lamentations, principal lieu saint du judaïsme, situé en contrebas de l'esplanade"...
 
..."selon le Waqf, l'Office des biens religieux musulmans à Jérusalem, les travaux menacent les fondations du Haram al-Charif. La seconde intifada avait éclaté sur l'esplanade, troisième lieu saint de l'islam, qui abrite la mosquée al-Aqsa et le Dôme du Rocher, en septembre 2000, à l'issue d'une visite de l'ancien premier ministre, Ariel Sharon, alors chef de l'opposition"...

Alors soyons bien clairs, M. Saint-Paul : depuis plusieurs années vous êtes correspondant du Figaro à Jérusalem et vous auriez dû prendre le temps de vous informer plutôt que de nous chanter votre antienne sans réfléchir.
 
Car vos mensonges peuvent aussi tuer, à commencer par les efforts de paix des hommes de bonne volonté.
 
Le soi-disant "Mur des Lamentations", en réalité "Mur Occidental", est le dernier vestige du Mont du Temple où était bâti le Temple de Jérusalem de Salomon en - 950 avant JC.***
 
Après le premier exil à Babylone, de retour en Terre Sainte, les Juifs reconstruisirent le Second Temple au même endroit, vers - 560 avant JC.
Ce Temple fut rasé par les Romains en + 70 après JC, suite à une nouvelle révolte des Juifs, qui furent massacrés pour beaucoup, et dispersés dans un exil de près de 2000 ans.
Les Romains détruisirent la ville en grande partie, et la rebaptisèrent Aelia Capitolina.
De même ils rebaptisèrent "Palestine" l'ancien royaume de Judée fondé par le David et son fils Salomon.
 
D'où les confusions actuelles, volontairement entretenues.
 
Il persista néanmoins des Juifs sur la Terre Sainte pendant toute cette période diasporique.
 
Mohammed fut orphelin assez jeune. Le prophète de l'Islam naquit en Arabie vers + 570, exerça la profession de chamelier, et ne connut l'existence de Jérusalem qu'à travers les récits des tribus juives et chrétiennes habitant alors "l'Arabie heureuse". On peut supposer que son métier lui apprit la valeur de l'enrichissement rapide par les razzias, courantes en ces lieux.
 
Cela ne fait pas du Mont du Temple le troisième lieu saint de l'Islam, même si le récit fantasmatique du Coran évoque la "Mosquée lointaine" d'où le prophète de l'Islam se serait pour un voyage nocturne sur Burracq, jument à tête de femme, évoquant plus une déesse grecque qu'u séjour auprès d'Allah.
Mais si on est libre de croire à cette sourate, elle n'indique aucunement le lieu de cette "mosquée éloignée".
 
Le Mont du Temple reste et demeure le premier lieu saint du judaïsme, qui dès l'éépoque d ela destruction romaine, substitua la prière (Tefilah) aux sacrifices d'offrandes animales (Korabanoth) pratiquées au temple. 
 
Les faits sont têtus M. Saint-Paul : vous aurez beau répéter selon la méthode Coué vos demi-vérité intéressées, cela n'en deviendra pas la vérité historique pour autant.
Et vos lecteurs devront savoir qu'au milieu d'un flux d'information contingentes, vous essayerz de les tromper sur l'essentiel : et ça, c'est très mal, M. Saint-Paul !
 
Simon Pilczer
 
***parenthèse de même nature sur la malveillance des traductions de l'hébreu en  français :
1 - les Macchabim, héros d'une révolte victorieuse des Juifs contre les occupants grecs vers - 160 à - 130 avant JC, sont devenus les "Macchabées", d'acception plus sinistre. Cette victoire est célébrée chaque année lors de la fête de Hanouka.
 
2 - Terah, bien qu'idolâtre, est le prénom biblique du père d'Abraham : il est rendu par "Tareh" en français.
 
Vous avez dit malveillance ?
Jérusalem revit les heures sombres de l'intifada
De notre correspondant à Jérusalem PATRICK SAINT-PAUL.
 Publié le 10 février 2007
Les heurts ont commencé, hier, lorsque des Palestiniens ont jeté des pierres aux cris de <I>« Allaho Akbar »</I>. Après une heure de confrontation, les forces israéliennes avaient repris le contrôle de l'esplanade des Mosquées. <BR/>
Les heurts ont commencé, hier, lorsque des Palestiniens ont jeté des pierres aux cris de « Allaho Akbar ». Après une heure de confrontation, les forces israéliennes avaient repris le contrôle de l'esplanade des Mosquées.

La "journée de colère" des Palestiniens, qui protestent contre les travaux sur l'esplanade des Mosquées, a fait 35 blessés hier.
 
LA COLÈRE gronde rue Bab el-Hutta. Les commerçants ont tiré les rideaux métalliques de leurs boutiques dans cette ruelle de la vieille ville de Jérusalem, située aux abords de l'esplanade des Mosquées. Enturbannés dans leurs keffiehs, les chebabs (« jeunes ») jettent des pierres sur les policiers israéliens, qui ripostent par des tirs de grenades assourdissantes et lacrymogènes. Les heurts ont éclaté après la grande prière du vendredi. Les Palestiniens avaient décrété une « journée de colère » pour dénoncer des travaux israéliens près du lieu saint.
 
Un chebab attrape une grenade assourdissante tirée par les forces israéliennes et la renvoie dans l'autre sens. Le projectile explose entre les jambes de deux policiers, légèrement blessés. « Tirez des balles en caoutchouc », ordonne un officier en battant en retraite. Soucieux de ne pas laisser dégénérer la situation, les policiers évacuent la rue Bab el-Hutta.
 
Encadrés par un meneur d'une vingtaine d'années, les lanceurs de pierres adolescents crient victoire. « On a fait reculer les soldats, se félicitent les chebabs. S'ils reviennent, ça va chauffer. On est prêts pour la troisième intifada al-Aqsa. » Le visage découvert, la barbe finement taillée, Mohammed, le chef du groupe, explique :
« Nous ne sommes ni du Fatah, ni du Hamas. Nous sommes juste des chebabs qui défendons nos lieux saints. »
Ils affirment avoir voulu, en lançant des pierres contre les soldats, créer une diversion afin de permettre aux fidèles pris au piège dans les deux mosquées du Haram al-Charif de s'échapper.
 
Les heurts ont commencé lorsque des Palestiniens ont jeté des pierres aux cris de « Allaho Akbar ». Seuls les musulmans âgés de plus de 45 ans et détenteurs de cartes d'identité délivrées par Israël ainsi que les femmes avaient été autorisés à se rendre sur l'esplanade pour prier. Les forces de police ont donné l'assaut.
Les fidèles juifs ont été évacués du mur des Lamentations, principal lieu saint du judaïsme, situé en contrebas de l'esplanade, de crainte qu'ils n'essuient des jets de pierres. Une trentaine de Palestiniens ont été légèrement blessés, dont deux par balle, ainsi qu'une dizaine de policiers israéliens.
 
«Agression flagrante»
 
Les travaux lancés mardi à la porte des Maghrébins, qui donne accès à l'esplanade, ont suscité une levée de boucliers chez les Palestiniens et dans le monde musulman. Israël assure que les travaux visent exclusivement à installer une nouvelle rampe, l'actuelle structure en bois ayant été endommagée par une tempête de neige en 2004.
Mais selon le Waqf, l'Office des biens religieux musulmans à Jérusalem, les travaux menacent les fondations du Haram al-Charif. La seconde intifada avait éclaté sur l'esplanade, troisième lieu saint de l'islam, qui abrite la mosquée al-Aqsa et le Dôme du Rocher, en septembre 2000, à l'issue d'une visite de l'ancien premier ministre, Ariel Sharon, alors chef de l'opposition.
 
Dans son prêche, le mufti de Jérusalem, Cheikh Mohammad Hussein, a violemment dénoncé les travaux israéliens aux abords de l'esplanade.
« Il s'agit d'une nouvelle agression flagrante contre al-Aqsa », a-t-il lancé, dénonçant « la politique de judaïsation de Jérusalem ».
Au bout d'une heure de confrontation, les fidèles pris au piège sur l'esplanade par les forces israéliennes ont finalement accepté de quitter les lieux dans le calme, à condition que les lanceurs de pierres ne soient pas poursuivis. Les chebabs se sont alors dispersés dans les ruelles de la vieille ville, alors que les commerces rouvraient. Mais ils ont promis que la colère ne cesserait pas de monter, tous les vendredis, tant qu'Israël poursuivra ses travaux.
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11 février 2007 7 11 /02 /février /2007 12:51


Agression antisémite sur Elie Wiesel
 
L'écrivain américain Elie Wiesel, prix Nobel de la paix, a été victime d'une agression, apparemment perpétrée par un individu niant la réalité de l'Holocauste, en marge d'une conférence sur la paix à San Francisco, a annoncé vendredi la police locale.
Le 1er février, un homme a approché l'auteur de "la Nuit" dans un ascenseur de l'hôtel Argent pour lui demander un entretien. Elie Wiesel a consenti à cet entretien, mais dans le hall de l'hôtel.
Il frappe et revendique
L'homme a alors insisté pour qu'il ait lieu dans une chambre et l'a tiré de force de l'ascenseur au sixième étage en le molestant, selon le sergent Neville Gittens, de la police de San Francisco.
Elie Wiesel, 78 ans, s'est alors mis à crier, entraînant la fuite de l'assaillant. Il est ensuite descendu dans le hall et a appelé la police.
Le sergent Gittens a indiqué qu'une enquête avait été ouverte. Un homme disant s'appeler Eric Hunt a ensuite revendiqué cet acte sur un site Internet antisémite virulent.
Les ravages du négationnisme sur les âmes simples
"J'avais prévu d'amener Wiesel dans ma chambre d'hôtel, où il aurait pu répondre sincèrement à mes questions concernant le fait que ses mémoires sur l'Holocauste, "la Nuit", ne sont pratiquement entièrement que fiction", a déclaré Eric Hunt sur ce site qui a été interdit vendredi. "Je suivais Wiesel depuis des semaines", a-t-il expliqué, ajoutant qu'il souhaitait "forcer (Wiesel) à dire la vérité sur un enregistrement vidéo".
Concernant Elie Wiesel, peut-être, dans ces jours de trouble pour Jérusalem, peut-on proposer de relire un de ses textes : Jérusalem de mon coeur*
 
Jérusalem vit en moi*
 
 
En tant que Juif vivant aux Etats-Unis, longtemps je me suis refusé le droit d'intervenir dans les débats internes de l'Etat d'Israël. Je considère cependant que nous avons le même destin, car son histoire est la mienne, du plus loin qu'il m'en souvienne.
La politique menée par Israël, quoique de manière indirecte, me concerne également. Je trouve ses caprices intéressants, ses bévues quelque peu embarrassantes mais comme je ne suis pas citoyen israélien, cela ne m'implique pas directement. Je peux éprouver un peu plus de sympathie pour tel politicien ou bien émettre une certaine réserve envers un autre, cela ne regarde que moi; je n'en parle à personne.
Cette attitude donne lieu à des "lettres ouvertes" ou des articles acerbes qui me reprochent de ne pas protester chaque fois que la police ou l'armée israéliennes réagissent excessivement contre la violence des soldats ou des civils palestiniens. Je ne réponds presque jamais. Mes censeurs peuvent avoir leur propre conception de l'éthique au niveau social comme au niveau individuel. Néanmoins, alors que je leur accorde le droit de me critiquer, en retour ils me dénient parfois celui de m'abstenir.
Mais au sujet de Jérusalem, il en va tout autrement. Ce ne sont pas seulement les Israéliens qui sont concernés par sa destinée mais aussi tous les Juifs de la Diaspora dont je fais partie. Le fait que je n'y vive pas est tout à fait secondaire; Jérusalem vit en moi. Elle est le propre même de ma judéité et occupe le centre de mes engagements et de mes rêves.
Jérusalem est, pour moi, au-dessus de la politique.
Mentionnée plus de 600 fois dans la Bible, elle sert de point de repère national à la tradition juive. Elle représente notre âme collective. C'est elle qui unit chaque Juif avec son prochain. Rien n'est plus beau et nostalgique que la prière qui évoque la splendeur de son passé et le souvenir accablant et persistant de sa destruction.
Je me souviens de mon premier séjour à Jérusalem; j'eus l'impression alors que j'y étais déjà venu. Pourtant, chaque fois que je visite la ville, c'est toujours la première fois. Ce que j'éprouve et vis là-bas, nulle part ailleurs je le ressens. Je reviens dans la maison de mes ancêtres; le roi David et le prophète Jérémie m'y attendent.
Selon le partage qui résulterait des accords politiques, la plus grande partie de la Vieille Ville de Jérusalem devrait échoir à l'Autorité palestinienne. Le Mont du Temple, sous lequel se trouvent les vestiges des temples de Salomon et de Hérode, serait, de la sorte, contrôlé par le nouvel Etat palestinien.
Que les Musulmans souhaitent maintenir des liens étroits avec cette ville, à l'encontre d'autres lieux, est tout à fait compréhensible. Quoique son nom n'apparaisse pas une seule fois dans le Coran, Jérusalem est la troisième ville sainte de l'Islam. Mais pour les Juifs, elle demeure la première. Pas seulement la première, la seule.
Comment pouvons-nous oublier que, entre 1948 et 1967, alors que la Vieille Ville était occupée par la Jordanie, les Juifs ne pouvaient pas avoir accès au Mur Occidental, en dépit d'un accord signé entre les deux gouvernements? A cette époque, les Arabes qui réclamaient un Etat arabe, ne mentionnaient jamais Jérusalem.
Pourquoi donc les Palestiniens sont-ils maintenant si désireux de faire de Jérusalem leur capitale? Suffisamment désireux, au point de mettre en péril les accords d'Oslo?
On nous dit que les concessions sans précédent qu'Israël a faites, également à Jérusalem, l'étaient pour une bonne cause. Pour la paix. C'est un argument de poids. La paix est la plus noble des aspirations; elle mérite le sacrifice de ce qui nous est le plus précieux. En cela, je suis d'accord.
Mais est-ce approprié en toutes circonstances? Peut-on toujours proclamer "La paix à n'importe quel prix"? Transiger sur des territoires peut sembler, sous certaines conditions, impérieux ou tout au moins politiquement opportun.
Mais transiger sur l'histoire est impossible.
Vous allez me demander, qu'en est-il de la paix dans tout cela? Je continue à croire dans la paix, de tout mon cœur. Néanmoins, je me méfie de toute chose qui ne conduirait qu'à des apaisements. Donner la plus grande partie de la Vieille ville de Jérusalem au président de l'Autorité palestinienne, Yasser Arafat (ce texte date de 2003, ndlr), et aux extrémistes, ne serait-ce pas une récompense pour leurs actes?
Les Palestiniens exigent aussi le "droit du retour" pour plus de trois millions de réfugiés. Les Israéliens s'y opposent unanimement. Il peut être nécessaire de rappeler les événements historiques qui ont entraîné cette tragédie palestinienne. En 1947, Israël a accepté le plan de partage de la Palestine; les Arabes le rejetèrent.
En 1948, David Ben-Gourion tendit la main à ce qui devait être l'Etat palestinien. Non seulement les Arabes refusèrent cette poignée de main, mais ils envoyèrent six armées étrangler l'Etat juif qui venait de naître. Incités par ses dirigeants, 600.000 Palestiniens quittèrent le pays, convaincus que, une fois Israël vaincue, ils pourraient retourner chez eux.
J'ai vu leurs enfants dans les camps de réfugiés de la bande de Gaza; leur sort ne peut laisser aucun de nous indifférent. Il est impératif de résoudre ce problème. Mais leur retour en masse est une solution inconcevable. Pour les Israéliens, cela équivaudrait à un suicide, de même que d'arracher Jérusalem de ses racines serait un suicide spirituel.
C'est avec tristesse que je dois dire cela: après avoir vu à la télévision, pendant l'Intifada, les visages de ces jeunes Palestiniens, déformés par la haine, il m'est plus difficile que jamais de croire en la volonté des Palestiniens de faire la paix.
 
Ce n'est pas un Israël plus petit qu'ils veulent; mais pas d'Israël du tout.
Et cependant… Bien que toutes les options semblent avoir été examinées, la paix demeure l'unique espoir que nous avons en commun; la violence et la guerre ont rempli beaucoup trop de cimetières des deux côtés. Cela ne peut et ne doit pas continuer. La majorité des Israéliens pensent comme moi: les Palestiniens doivent avoir le droit de vivre librement et dignement, sans crainte et sans honte. Il incombe au monde ainsi qu'à Israël de tout faire afin de les aider, et cela sans qu'ils ne perdent la face.
La situation des Arabes israéliens m'intéresse particulièrement. Comme citoyens de l'Etat d'Israël, leurs droits civiques doivent être protégés à tout prix.
Quant à Jérusalem, ne serait-il pas mieux de résoudre d'abord toutes les questions en suspens et de remettre à plus tard les décisions concernant le destin de la plus sainte des villes?
Je reste persuadé que des ponts humains peuvent être bâtis entre les deux communautés, grâce à des visites réciproques d'étudiants, d'enseignants, de musiciens, d'écrivains, d'hommes d'affaires et de journalistes.
Peut-être dans vingt ans, les enfants de ces gens seront plus à même d'aborder le plus brûlant de ces sujets: Jérusalem. Peut-être comprendront-ils alors pourquoi l'âme juive porte en elle-même la blessure et l'amour d'une cité dont les clefs sont protégées par sa mémoire.
Elie Wiesel
Traduction et Adaptation de Claude Krasetzki
 
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11 février 2007 7 11 /02 /février /2007 12:44
Deux mois fermes pour Kemi Seba
 

AFP/Ayissi
logo FIGARO 
 
 
Le fondateur du groupuscule noir Tribu Ka, dissous en juillet, a été condamné pour outrage.
 
Cinq mois, dont trois avec sursis, telle est la peine dont écope Stellio Capiochichi, alias Kemi Seba. Le fondateur de l'ex-groupuscule extrêmiste noir Tribu Ka, dissous en 2006 après plusieurs actions à connotation antisémite, avait été arrêté jeudi pour avoir tenu des propos racistes envers des policiers à Chartres.
 
Kémi Seba et une demi-douzaine de membres de son groupe s'étaient rendus dans le centre de Chartres pour y organiser un meeting. Des policiers, dépêchés sur place en raison d'un «trouble à l'ordre public» ont été traités de «sionistes à la solde d'un gouvernement sioniste». Seba et ses amis se sont ensuite livrés à des violences physiques et ont proféré insultes et menaces de mort, selon le chef d'accusation.
 
En comparution immédiate, le tribunal correctionnel de la ville a condamné le leader à cinq mois de prison dont trois avec sursis pour «outrage sur personne dépositaire de l'autorité publique», en l'espèce le directeur de la sécurité publique d'Eure-et-Loir, Erick Degas. 
 
Deux proches de Kemi Seba, ont également été condamnés. L'un à deux mois de prison dont un avec sursis pour outrage et rébellion, l'autre à trois mois dont deux avec sursis. Les trois prévenus, placés sous mandat de dépôt, ont été emmenés aussitôt après l'audience.
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11 février 2007 7 11 /02 /février /2007 12:16

Via Resistancia -
Des policiers expliquent toutefois au quotidien que ce genre de pratiques est courant en faveur des personnalités : politiques, chanteurs, acteurs, chefs de grandes entreprises. ..

Les grands moyens aussi pour le scooter du fils Hollande

 

 Publié le 09 février 2007

A la différence de celui du fils de Nicolas Sarkozy,

il n'a pas été retrouvé.

 
Thomas Hollande aussi a eu droit aux grands moyens de la part des policiers pour retrouver son scooter volé. L'information, révélée vendredi matin par Le Parisien-Aujourd' hui en France, a été confirmée par la police. A l'image de ce qui s'était passé pour l'un des fils du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, les policiers ont eu recours aux prélèvements ADN pour retrouver les voleurs du deux-roues.  
 
L'histoire remonte à novembre 2003. Thomas Hollande est pris à partie par un groupe de jeunes dans le XIè arrondissement de Paris alors qu'il s'apprête à démarrer son scooter. Les agresseurs s'en vont, emportant le deux-roues. Accompagné de son père, Thomas Hollande portera plainte au commissariat du XIè. Un policier, cité par le quotidien, se souvient alors : «là aussi, on avait fait le maximum».
 
Des pratiques courantes
 
C'est, en effet, la section criminelle de la 2è division de police judiciaire qui se chargera de l'enquête. Une procédure peu habituelle pour un vol, bien que celui-ci ait été commis avec violence. Des tests ADN seront pratiqués, sans succès, contrairement à ceux effectués après le vol du scooter du fils du ministre de l'Intérieur .
 
L'affaire avait provoqué des remous au sein de la classe politique. On reprochait notamment l'ampleur des moyens utilisés par le ministre-candidat.
 
Et Le Parisien de s'interroger sur le silence du couple Hollande-Royal au moment de l'affaire : «Est-ce en souvenir de ce précédent que ni François Hollande, ni Ségolène ne se sont exprimés publiquement sur l'affaire du scooter Sarkozy ? Possible».
 
Des policiers expliquent toutefois au quotidien que ce genre de pratiques est courant en faveur des personnalités : politiques, chanteurs, acteurs, chefs de grandes entreprises.
 
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11 février 2007 7 11 /02 /février /2007 12:13
 
Un danger clair et actuel
Editorial du Haaretz
(journal de la Gauche israélienne, ndt) 
9 février 2007
 
Adaptation française de Sentinelle 5767
 
 
Aucune commission n’est nécessaire pour réaliser le fait que le Premier Ministre et le ministre de la défense ne se parlant pas, cela représente un danger clair et actuel pour la sécurité nationale. Cette situation grave s’est poursuivie depuis que la guerre du Liban a pris fin, mais le public n’est pas complètement informé de sa gravité. Toutes les déclarations de conciliation émanant des bureaux des deux ministères sont fausses, comme les sourires qu’ils échangent devant les caméras. L’Etat n’est pas gouverné, et il n’y a pas de coordination entre Ehud Olmert et Amir Peretz sur les questions les plus vitales.
 
Hier justement, une lettre scandaleuse envoyée par Peretz à Olmert, exigeant que les travaux de construction sur le Mont du Temple soient stoppés, a été publiée. Au lieu que cette affaire sensible soit discutée en privé et sérieusement, les choses sont faites à l’évidence sans coordination, et le ministre de la défense répond sans recul aux évènements.
 
L’explication inacceptable proposée pour cet état de choses est que Olmert a l’intention de remplacer le ministre de la défense, mais qu’il retarde ce changement pour des raisons politiques. Cette lâcheté prouve l’incapacité d’Olmert à gouverner. Le Premier Ministre – qui se plaint que des investigations judiciaires entravent le travail du gouvernement, et donc, de façon à montrer son insatisfaction, a nommé rapidement et de façon provocatrice un ministre de la justice partageant son état d’esprit – s’est montré incapable depuis des mois de choisir un ministre de la défense qui l’aidera à assurer la sécurité des citoyens d’Israël. La question n’est plus de savoir si Peretz est adapté au poste, ou si le Parti travailliste acceptera de le remplacer. La situation dans laquelle ces deux personnages sont incapables de travailler ensemble est effrayante en elle-même et par elle-même.
 
Il est difficile de prêter du crédit aux déclarations du gouvernement sur l’activité des Forces de Défense d’Israël (Tsahal) sur les frontières du Liban ou de Gaza, sa stratégie politique sur les avant-postes des implantations, et les réflexions qui ont conduit à acquérir de nouveaux systèmes d’armes – sans parler de sa gestion de la question nucléaire iranienne ou ses contacts avec l’Autorité Palestinienne – quand ces questions sont traitées essentiellement à travers les médias, et chaque déclaration d’un côté déclenchant immédiatement une réponse dédaigneuse de l’autre. Les bureaux du Premier Ministre et de celui de la défense rappellent trop ceux du Président de l’AP Mahmoud Abbas et du premier ministre de l’AP Ismaïl Haniyeh, et l’avantage d’Israël de sa propre gouvernance démocratique est sapé par le jeu gênant des ego.
 
Le ministre adjoint de la défense, Ephraïm Sneh, dit que la publication de la lettre de Peretz au sujet du Mont du temple a provoqué la consternation au ministère de la défense. Mais le fait même que la lettre ait dû être envoyée d’un ministère à l’autre sur une affaire aussi sensible, susceptible de provoquer des pertes en vies humaines, prouve l’énormité de la crise. Les travaux sur le Mont du temple, aussi bien que les opérations sur la frontière libanaise, sont tous susceptibles de faire éclater une conflagration majeure, aussi il aurait été raisonnable de supposer que les décisions ont été prises en connaissance de cause et judicieusement. Mais le gouvernement israélien actuel n’a ni connaissance ni jugement, mais seulement des politiciens s’accroupissant dans leurs propres camps et parmi leurs propres copains et il semble que les rancoeurs et la vengeance soient devenues les substituts d’un projet national.
 
Si le Premier Ministre veut laisser la moindre impression positive avant d’être remplacé, il doit au moins s’assurer que le ministère de la défense soit dirigé par quelqu’un qui jouisse de la confiance de ce ministère, et avec lequel il puisse travailler. Et si le Parti travailliste quitte le gouvernement sur la question du remplacement du ministre, ce sera un signe que, là aussi, il n’est pas adapté à la conduite du pays.
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11 février 2007 7 11 /02 /février /2007 11:32
  
 
 

Le procès de l'“antiracisme”

Par Ivan Rioufol

LE FIGARO 9 février 2007

L'accusation de racisme, lancée à la volée, cherche à museler la critique. Démonstration cette semaine avec Charlie Hebdo, poursuivi en justice par des organisations musulmanes pour avoir publié des caricatures de Mahomet liées au terrorisme. Or, c'est en référence à ce même moralisme, dont il se réclame, que l'hebdomadaire a été attaqué. Puissent les belles âmes prendre enfin conscience des risques qu'un tel dogme envahissant, détourné de sa juste cause, fait courir à la démocratie.

Une condamnation du journal satirique serait un recul pour la libre expression. L'idéologie islamiste, pas plus qu'une autre, ne peut s'estimer intouchable et exiger la censure. SOS Racisme et la Licra ont eu évidemment raison de s'indigner, lundi dans Libération, du procès ouvert pour la “lutte contre le racisme”. Mais ces organisations ulcérées ont contribué à sacraliser l'argument massue, au nom des bons sentiments.

Dans un livre sorti ces jours-ci (“Le Communisme du XXIe siècle”, Éditions Xenia), Renaud Camus analyse lumineusement, à la suite d'Alain Finkielkraut, le totalitarisme porté par cet antiracisme systématisé, “ultime objet de la transmission scolaire”. Ce culte d'État conduit à bannir tout ce qui relève des ethnies, des peuples, des cultures, des religions, des civilisations, des origines, des migrations, des nationalités. Son intégrisme en vaut un autre.

Rares sont ceux, par exemple, qui auront protesté d'entendre Edwy Plenel, alors patron du Monde, assurer: “Quand j'entends Français de souche, j'entends raciste de souche”, Emmanuel Todd trouver “raciste” de défendre l'Occident, ou Jack Lang estimer: “Le raciste voit partout des Noirs et des Arabes”. Même Nicolas Sarkozy a succombé à la sommation en voyant, en 2004, “des relents de racisme” dans le fait de s'interroger sur la compatibilité de l'islam avec les valeurs de la République.

Le racisme est indéfendable. Cependant, son instrumentalisation par la pensée correcte rend impossible le moindre débat. La récitation a d'ailleurs valu au candidat de l'UMP, lundi soir sur TF1, de se faire accuser à son tour, pour avoir évoqué une pratique d'égorgement de mouton à domicile. En ayant choisi de défendre la libre opinion et la laïcité, en dépit de l'opposition des gardiens du temple, Charlie Hebdo a pris un chemin de dissidence: un premier pas. Reste un mur à abattre.

“Assez de honte, citoyens!”

Charlie Hebdo a bien fait de tenir tête aux intimidations. Et le président du Conseil français du culte musulman, Dalil Boubakeur, réputé modéré, a eu tort de se joindre aux intégristes de l'UOIF (Union des organisations islamiques de France) soutenus par la Ligue islamique mondiale, proche de l'islam extrémiste wahhabite. Ce faisant, le recteur de la mosquée de Paris a montré qu'islam et islamisme savaient faire cause commune sur le dos de la liberté d'expression, ce pilier de la démocratie. Où est, ici, l'occidentalisation promise de l'islam?

Les appuis apportés à l'hebdomadaire par Nicolas Sarkozy, François Hollande et François Bayrou, invitent à ne pas désespérer d'une résistance à l'obscurantisme. Ces positions corrigent les complaisances de Jacques Chirac, apparues dès l'affaire Salman Rushdie en 1989, pour une idéologie construite sur la soumission. Le chef de l'État avait qualifié, il y a un an, les caricatures de “provocation manifeste”, avant de prendre ses distances avec Benoît XVI et son discours de Ratisbonne qui critiquait l'irrationalité de la violence.

Cependant, trop de signes laissent voir une tendance à la démobilisation. L'Éducation nationale aura lâché le professeur d'histoire Louis Chagnon, accusé en 2004 d'islamophobie et défendu ici dans l'indifférence médiatique. Les “réserves” sur le professeur Robert Redeker ne furent guère plus courageuses. Entendre Jack Lang, dimanche à Alger, se prononcer, au nom de Ségolène Royal, pour la “reconnaissance des crimes qui ont été commis par la colonisation en Algérie de 1830 à 1962”, sans même évoquer le massacre des harkis par le FLN, ajoute au malaise. “Assez de honte, citoyens!”, aurait fulminé Victor Hugo.

Quand Lang, à cette même occasion, déclare de surcroît: “Il faut réformer les manuels scolaires français (...) qui présentent une histoire idyllique du colonialisme”, tout en ayant fait, récemment, l'éloge de l'occupation musulmane de l'Espagne, le conseiller spécial de la candidate socialiste ne fait qu'accéder aux demandes des pays de l'Organisation de la conférence islamique. Est-ce cela, le “dialogue euro-arabe” que veut relancer la gauche anti-atlantiste, Prodi, Zapatero et Royal en tête?

“Je suis Algérienne”

TF1, lundi soir: Nicolas Sarkozy est pris à partie par une Lilloise qui lui reproche d'avoir nommé à la tête du Conseil français du culte musulman (CFCM) un “Algérien”, ce qu'elle trouve anormal car “les Marocains sont majoritaires” en France. “Moi, je suis algérienne”, précise-t-elle. Sarkozy: “Vous n'êtes pas une Algérienne, vous êtes une Française”. Cette réplique a été généralement oubliée des comptes rendus, qui ont préféré rapporter l'accusation de racisme portée par cette jeune femme (lire plus haut). Pourtant, ce dialogue illustre le défi qui reste à relever: faire aimer la France afin de s'en réclamer naturellement. Or ce n'est pas en s'excusant sans cesse de son passé, de sa culture, de ses valeurs que la nation saura faire partager aux nouveaux venus la fierté d'être français.


Ivan Rioufol, éditorialiste au Figaro, est Senior Fellow à l'Atlantis Institute

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11 février 2007 7 11 /02 /février /2007 10:49

 

Ce n'est plus une "bourde" de la part de Ségolène Royal, mais bien une volonté politique de fond de la part de l'Appareil PS dans son ensemble, de casser et de se venger des Français de l'Etranger.



DSK propose à Royal de taxer les Français à l'étranger


Publié le 09 février 2007
Actualisé le 09 février 2007 : 14h51
AFP - lefigaro.fr.

Pour répondre à la polémique sur l'exil fiscal de Johnny Hallyday, le challenger malheureux de la candidate socialiste propose de créer un « impôt citoyen ».

« Il n'est plus acceptable que des citoyens français parviennent à échapper à l'impôt en s'installant hors de France.
Nous proposons de définir une contribution citoyenne qui sera payée en fonction de ses capacités contributives par tout Français établi à l'étranger et ne payant pas d'impôt en France ».
Telle est l'un des mesures phares du rapport sur les questions de dépenses publiques et des prélèvements obligatoires rendu par Dominique Strauss-Kahn à Ségolène Royal.
Le texte ne précise pas si ce nouvel impôt concernera les Français travaillant à l'étranger ou uniquement les évadés fiscaux.

Arrivé bon deuxième de la campagne interne, DSK a remis à la candidate socialiste une clé USB contenant un document d'une quinzaine de pages sur le sujet. A ses côtés, le fabiusien Didier Migaud et le sénateur François Marc, co-auteurs du document.

Dominique Strauss Kahn recommande également de revenir sur les baisses d'impôt dont ont bénéficié les 1% de contribuables "tout en haut de la hiérarchie".
Objectif : « montrer au Français que contrairement à ce qu'on dit, les socialistes au pouvoir ce n'est pas plus d'impôt, plus de dépenses mais des impôts plus justes plus efficaces, des dépenses elles aussi qui servent l'intérêt général ».
 

Ce rapport avait été commandé il y a un mois pour trancher la controverse interne au PS sur les questions fiscales, après que le premier secrétaire François Hollande se fut prononcé pour l'annulation des baisses d'impôt intervenues depuis cinq ans, à partir d'un revenu net mensuel de 4.000 euros par part fiscale.

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5 février 2007 1 05 /02 /février /2007 12:46
Un leader étudiant iranien: "Les Ayatollahs s'enfuiraient si l'Iran était attaqué"

 

YNET NEWS - Après des années de prison en confinement, torturé avant de s'échapper pour se rendre aux Etats-Unis, le leader  étudiant révolutionnaire Amir Abbas Fakhr Avar se confie à YNET: "A présent c'est le temps de la révolution, le monde doit soutenir le peuple iranien contre ce régime."

WASHINGTON - Alors que le Ministre de la Défense américain Robert Gates ainsi que d'autres spécialistes de la question mettent en garde contre une attaque sur l'Iran qui d'après eux piègerait le peuple iranien derrière le régime des Ayatollahs, le leader étudiant Amir Abbas Fakhr Avar pense qu'une attaque aurait l'effet inverse.
Fakhr Avar décrit son point de vue sur la façon de renverser le régime (iranien). Si l'Occident lance une attaque militaire sur l'Iran, "Les officiels s'enfuiront immédiatement.
Les gens sortiront dans les rues pour protester, pourquoi sommes-nous bombardés ? Beaucoup des officiels du niveau subalterne se raseront la barbe, mettront des cravates et rejoindront (les civils) dans les rues."[...]
Fakhr Avar, un des leaders étudiants de l'Iran, est à la tête d'une organisation de 12 000 étudiants.
Selon un accord passé entre les étudiants iraniens et le régime, il avait été temporairement relâché de prison pour passer des examens académiques après avoir purgé la moitié de sa peine de 8 ans de prison.
Il n'est pas revenu. En mai 2006 Fakhr Avar a réussi à s'enfuir d'Iran et à rejoindre les Etats-Unis.
Il a témoigné devant le Sénat américain, a rencontré le Président Bush et des officiels de haut rang du Département d'Etat et du Pentagone, ainsi que des experts et des analystes de l'Iran, dont le Professeur Bernard Lewis.
Son message à l'Occident est: Arrêtez de soutenir les réformistes en Iran.
Aidez-nous à renverser le régime des Ayatollahs.
Selon lui, c'est le bon moment; tout ce qu'il faut est un appui occidental. Fakhr Avar pense que la révolution peut s'accomplir d'ici 10 mois à un an.
Il ne demande pas trop aux Américains: "Ce dont nous avons vraiment besoin ce sont les outils" dit-il. "Des téléphones portables, des ordinateurs, des caméras, et la possibilité de publier. C'est de financement que nous avons besoin pour nos activités (révolutionnaires), afin de coordonner à l'intérieur et à l'extérieur de l'Iran".

                                                      amir.jpg

Amir Abbas Fakhr Avar, leader étudiant révolutionnaire iranien (Photo: Ynet)

http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3354536,00.html

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5 février 2007 1 05 /02 /février /2007 12:40
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5 février 2007 1 05 /02 /février /2007 11:52
Bernard Lewis:
"Les Musulmans prendront bientôt l'Europe"

 

JERUSALEM POST - Selon le Professeur Bernard Lewis, expert du Moyen-Orient et de l'Islam, l'Islam pourrait bientôt être une force dominante en Europe qui a, au nom du politiquement correct, abdiqué la bataille pour le contrôle culturel et religieux.
"Il semble que les Musulmans soient bientôt en mesure de prendre l'Europe" a dit Lewis dans un briefing spécial avec l'équipe du Jérusalem Post. [...]  
"Bientôt, a-t-il mis en garde, la seule question pertinente concernant le futur de l'Europe sera (de savoir si) c'est " l'Europe qui sera islamisée ou bien si c'est l'Islam qui s'européanisera ?
" La montée de l'Islam en Europe est une question particulièrement importante concernant le soutien grandissant pour l'extrêmisme et les mouvements terroristes au sein du monde musulman a dit Lewis. [...]
"Les Européens sont en train de perdre leurs loyautés et leur confiance en eux" ajoute Lewis, "Ils n'ont pas de respect pour leur propre culture". Toujours selon Lewis, les Européens se sont "rendus" sur toutes les questions concernant l'Islam dans un état d'esprit "d'auto-humiliation", de "politiquement correct" et de "multi-culturalisme".
Le Pr. Bernard Lewis vit aux Etats-Unis.

                                                      lewis.jpg

Le Professeur Bernard Lewis (Photo: Ariel Jerozolimski)

http://www.jpost.com/servlet/Satellite?cid=1167467834546&pagename=JPost%2FJPArticle%2FShowFull

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