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  • : La Chaine d'Union
  • : Lettre d'actualité, avec un apport de symbolisme, et de spiritualité, accés le plus souvent sur un axe Moyen- Orient, Europe, et Amérique du Nord.
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5 juillet 2006 3 05 /07 /juillet /2006 10:43
hélas la france est trop occupée par les ours et la coupe du monde !
en attendant qu'on aille parler de paix après aux parents des petits jeunes assassinés !

annie

ecrivez au journal de Monde vos critiques, nhésitez pas la direction a changé..

peut être peux t on encore espérer un réajustement journalistique??

ECRIVEZ ET ENVOYEZ VOS EMAILS AU MONDE CONCERNANT CET ARTICLE



Note : Lisez donc bien l'article ci-dessous du journal "le monde" on
appréciera combien ils parlent d'abord de l'attaque sur trois
paragraphes, et ensuite pourquoi Israel attaquerait ......
Par ailleurs merci à nos frères et soeurs en Israel de nous donner un
peu plus d'infos "réelles" et surtout que de Bonnes nouvelles à
propos de Guilad.
ayant assisté à une conférence du Grand Rabbin Sitruck
hier, il a demandé que nous prions tous en lisant les téhilims
appropriées pour sa libération.
MRB


Priorité a été donnée aux efforts diplomatiques.

http://www.lefigaro.fr/international/20060627.FIG000000138_israel_mena
ce_de_liberer_son_otage_par_la_force.html




AU LENDEMAIN de l'attaque palestinienne qui a coûté la vie à deux de
ses soldats, Israël concentrait ses efforts sur un objectif : sauver
le soldat Shalit, 19 ans, kidnappé au cours de l'opération. Le
gouvernement israélien a brandi la menace d'une vaste offensive
militaire à Gaza pour frapper les groupes armés palestiniens
impliqués dans l'enlèvement. Même si priorité a été donnée aux
efforts diplomatiques.

Ce ne sont pas les deux soldats tués dans l'opération palestinienne,
ni l'humiliation essuyée par Tsahal, qui ont retenu l'attention des
médias israéliens. Mais le sort de l'otage. Tsahal s'est gardé de
mettre en oeuvre la directive Hannibal. Selon cette procédure, tout
soldat israélien serait prévenu qu'en cas d'enlèvement, ses camarades
peuvent recevoir l'ordre de déclencher un déluge de feu sur les
ravisseurs sans considération est que la nation peut supporter la
mort de soldats, mais pas le sort incertain d'un soldat capturé»,
notait, hier, le quotidien Jerusalem Post.

Israël active ses réseaux

L'attitude ambiguë du gouvernement, qui menace sans agir, illustre ce
dilemme. «J'ai donné l'ordre, hier (NDLR : dimanche), au commandement
militaire de préparer nos forces pour une opération militaire de
grande envergure et de longue haleine, pour frapper les organisations
terroristes, leurs chefs et tous ceux qui sont impliqués dans le
terrorisme, a prévenu hier le premier ministre, Ehoud Olmert. Aucune
personne impliquée dans l'enlèvement et la détention du soldat Shalit
ne sera à l'abri.»

Il a réaffirmé qu'il tenait l'Autorité palestinienne du président
Mahmoud Abbas et le gouvernement Hamas d'Ismaïl Haniyeh pour
responsables. Le premier a aussitôt ordonné au second d'organiser une
vaste battue dans la bande de Gaza pour retrouver le soldat enlevé.
L'entourage d'Ehoud Olmert a promis qu'Israël veillerait à ce que le
gouvernement Hamas ne puisse plus fonctionner si le caporal Shalit
n'était pas rendu aux autorités israéliennes sain et sauf.

Malgré son refus de négocier directement avec les ravisseurs, Israël
a activé ses réseaux, en Égypte et en Europe. Selon le quotidien
Haaretz, le caporal Shalit serait détenu par des chefs des Brigades
Ezzedine al-Qassam, la branche armée du Hamas. Il aurait été blessé
mais ses jours ne seraient pas en danger, ce qui expliquerait
qu'Israël privilégie la diplomatie. Une opération commando pour le
libérer pourrait lui coûter la vie.

Les Brigades Ezzedine al-Qassam, les Comités de résistance populaire
et l'Armée islamique ont réclamé, hier, dans un communiqué, la
libération de toutes les femmes et de tous les mineurs palestiniens
détenus par l'État hébreu, en échange d'informations sur le sort du
caporal Shalit. Dans le passé, Israël a souvent payé un prix généreux
en échange de ses otages. Des centaines de prisonniers palestiniens
ont ainsi été libérés. Cette fois, Ehoud Olmert a exclu tout
marchandage.

La bande de Gaza est un mouchoir de poche dont les forces
israéliennes connaissent le moindre recoin et les activistes du Hamas
savent qu'ils ne tiendront pas longtemps avec un otage israélien.
Les «pragmatiques» du mouvement espèrent éviter une douloureuse
opération militaire israélienne et sauver leur gouvernement en
libérant rapidement le caporal Shalit. Mais rien ne garantit
qu'Israël laissera s'installer ce dangereux précédent.

caporal Shalit. Dans le passé, Israël a souvent payé un prix
généreux en échange de ses otages. Des centaines de prisonniers
palestiniens ont ainsi été libérés. Cette fois, Ehoud Olmert a exclu
tout marchandage.

La bande de Gaza est un mouchoir de poche dont les forces
israéliennes connaissent le moindre recoin et les activistes du Hamas
savent qu'ils ne tiendront pas longtemps avec un otage israélien.
Les «pragmatiques» du mouvement espèrent éviter une douloureuse
opération militaire israélienne et sauver leur gouvernement en
libérant rapidement le caporal Shalit. Mais rien ne garantit
qu'Israël laissera s'installer ce dangereux précédent.



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Israël prêt à lancer une opération d'envergure à Gaza


http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3218,36-788581@51-
759824,0.html



Des dizaines de chars israéliens et des renforts d'infanterie étaient
déployés, mardi matin 27 juin, à quelques centaines de mètres de la
bande de Gaza, en prévision d'une éventuelle opération d'envergure
que le premier ministre, Ehoud Olmert, a menacé de lancer pour
libérer un soldat enlevé dimanche, faisant craindre une escalade dans
le conflit.


Ces forces étaient concentrées dans le secteur du kibboutz (village
collectiviste) de Nahal Oz d'où l'on peut voir les premières maisons
du nord de la bande de Gaza. L'armée israélienne a permis aux
journalistes et photographes de se déplacer parmi les chars.
Plusieurs véhicules blindés qui servent à déminer le terrain avant le
passage des chars se trouvaient également dans le secteur.

La radio de l'armée israélienne a précisé que ces renforts
comprennent deux régiments d'infanterie ainsi que deux bataillons de
blindés. La radio a ajouté que l'ordre de pénétrer dans la bande de
Gaza n'a pas été donné jusqu'à présent, de crainte pour la vie du
soldat enlevé.



DONNER UNE CHANCE À LA DIPLOMATIE

La secrétaire d'Etat américaine, Condoleezza Rice, a invité lundi
soir les autorités israéliennes à laisser une chance à la diplomatie
pour obtenir la libération du militaire. "Un effort est vraiment
nécessaire à présent pour essayer d'apaiser la situation, d'empêcher
l'escalade, et de donner une chance à la diplomatie pour tenter
d'obtenir cette libération", a déclaré Mme Rice, s'adressant à la
presse lors d'une escale en Ecosse. La secrétaire d'Etat, en route
vers le Pakistan, a ajouté qu'une initiative internationale avait été
lancée pour obtenir la remise en liberté du militaire.

La France œuvre également à sa libération car le caporal Guilad
Shalit, un conscrit âgé de dix-neuf ans, possède aussi la nationalité
française.



"LE TEMPS D'UNE OPÉRATION ISRAÉLIENNE SE RAPPROCHE"


Le soldat a été enlevé dimanche dans une attaque palestinienne contre
un poste militaire israélien à la lisière de la bande de Gaza. Deux
autres soldats israéliens et deux militants palestiniens ont été
tués. Trois factions armées palestiniennes ont exigé dans un
communiqué la libération par Israël des femmes et des mineurs détenus
contre des informations sur le soldat.

Le Hamas a démenti détenir le soldat tandis qu'un autre groupe armé,
les Comités de la résistance populaire, qui a participé à l'attaque,
a revendiqué l'enlèvement. Ils réclamaient lundi la libération de la
centaine de Palestiniennes et des quelque 300 mineurs détenus par
Israël en échange d'informations sur le sort du caporal Shalit.

"La question de la libération de prisonniers n'est pas du tout à
l'ordre du jour du gouvernement israélien", a dit le chef du
gouvernement israélien dans un discours. "Le temps d'une opération
israélienne complète, tranchante et intense se rapproche. Nous
n'attendrons pas indéfiniment. Nous ne deviendrons pas une cible du
chantage terroriste du Hamas", a-t-il ajouté.


Avec AFP et Reuters

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