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  • : Lettre d'actualité, avec un apport de symbolisme, et de spiritualité, accés le plus souvent sur un axe Moyen- Orient, Europe, et Amérique du Nord.
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9 juillet 2006 7 09 /07 /juillet /2006 10:46
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Le bloc-notes de ce vendredi d'Ivan Rioufol est un vrai régal et nous l'en remercions. Pourvu que cela dur ! En effet, Zidane prenant sa retraite, si Bilal Ribéry devient une référence pour la jeunesse française accélérant ainsi l'islamisation de notre pays, il faudra plus que du courage pour écrire de telles vérités. Il faudra aussi en avoir encore le droit…
 
 
 
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Environ 40.000 sans-papiers pourraient être régularisés, affirme Julien Dray
 
 
Sarkozy piégé ?
 


Le porte-parole du Parti socialiste Julien Dray a affirmé vendredi que la procédure ouverte pour les familles d'élèves étrangers aboutirait à une "régularisation massive" de 40.000 sans-papiers.
Les propos du député socialiste, ancien patron de SOS Racisme, toujours très impliqué dans les réseaux de soutien aux sans papiers, confirme donc implicitement les propos du préfet de police de Paris qui avait été vivement démenti par le ministre de l'intérieur. Celui ci a d'ailleurs également contesté les chiffres de Julien Dray
Toutefois malgré les démentis de Nicolas Sarkozy, les media ont aisément observé que plusieurs dizaines de milliers de sans papiers avaient formulé des demandes de régularisation, reposant sur le fait que leurs enfants sont scolarisées, et si s'applique bien cette règle, les chiffres avancés par le député socialiste pourrait bien vite être atteint et même dépassé.
Le ministre de l'intérieur, quant à lui, semble pris au piège d'une règle qu'il a lui même fixé.
 
 
 
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Première expulsion d'un élève sans papiers
 
 
Aussi incroyable cela soit-il, c'est que les opposants à l'expulsion de ce jeune marocain, occultent complètement le fait qu'il a été envoyé en rétention après avoir agressé un SDF, autrement dit les réseaux qui veulent soustraire à la loi les sans papiers, veulent aussi garder des délinquants sur notre sol ! Une "mobilisation" est même prévue en sa faveur...


Première expulsion d'un élève sans papiers
PARIS (AP) - Un jeune Marocain sans papiers scolarisé à Paris a été expulsé vendredi matin, a-t-on appris de source policière. Selon le Réseau éducation sans frontières (RESF), il s'agirait de la première expulsion d'un élève depuis la fin de l'année scolaire et du moratoire décidé par le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy.
Le jeune homme de 19 ans avait été arrêté le 30 juin à la suite de l'agression d'un SDF. Il a depuis été transféré au centre de rétention de Vincennes (Val de Marne) puis reconduit vers le Maroc, apprend-on de source policière.
Abdallah Boujraf était arrivé en France à l'âge de 14 ans pour rejoindre son père, mais sans passer par la procédure normale du regroupement familial, ce qui lui avait valu de devenir sans-papiers à sa majorité, rapporte le Réseau éducation sans frontières (RESF).
Le Réseau, engagé contre l'expulsion des élèves étrangers, avait tenté d'empêcher cette expulsion. Alors qu'il se trouvait en rétention, plusieurs conseillers régionaux avaient notamment décidé de le "parrainer".
"On reste sans voix devant ce genre de choses", a réagi Richard Moyon, animateur du RESF, qui promet d'organiser une mobilisation pour demander le retour d'Abdallah Boujraf. "On ne désespère pas de l'obtenir", a-t-il dit, citant le précédent du retour en France d'une Malienne expulsée en mai, quelques jours avant le déplacement de Nicolas Sarkozy au Mali.
AP
 
 
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Marie Le Pen
 
Bien qu'elle vienne de Jean Marie Le Pen, la critique est plutôt juste et parfaitement établie dans les faits...

Nicolas Sarkozy veut "ouvrir une nouvelle filière d'immigration familiale", accuse Jean-Marie Le Pen
PARIS (AP) - Le président du Front national Jean-Marie Le Pen accuse jeudi le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy de vouloir "ouvrir une nouvelle filière d'immigration familiale" avec la régularisation de familles sans-papiers.
"On savait que son Kärcher n'était en fait qu'un brumisateur. On sait aujourd'hui que les charters de clandestins, c'est vers la France qu'il veut les affréter", dénonce le patron du FN dans un communiqué intitulé "Bronzez en paix... Sarkozy régularise".
"Après la relance de l'immigration prétendument 'choisie', Nicolas Sarkozy profite de la torpeur estivale pour ouvrir, avec cette initiative irresponsable, une nouvelle filière d'immigration familiale", poursuit Jean-Marie Le Pen.
Cette réaction fait suite à la publication dans "Le Monde" daté de vendredi d'un entretien avec le directeur de la police générale à la préfecture de police de Paris, Yannick Blanc. Dans les colonnes du quotidien, celui-ci affirme que "plusieurs milliers de familles" vont être régularisées.
AP
 
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Quand la gauche italienne essaye de casser la lutte antiterroriste de leur propre pays
 
 
 
 
Italie: une enquête sur l'enlèvement d'un imam provoque un séisme dans le pays

Par Ljubomir MILASIN  

ROME (AFP) - Une enquête des magistrats de Milan sur l'enlèvement d'un imam égyptien en Italie en 2003 provoque un séisme dans le pays car elle menace les services de renseignements militaires, envenime les relations avec Washington et a dévoilé l'implication d'un journaliste de droite dans cette affaire. Le 17 février 2003, l'ancien imam d'une mosquée de Milan (nord de l'Italie), Osama Mustafa Hassan, un Egyptien connu également sous le nom d'Abou Omar et soupçonné de terrorisme, est enlevé dans la capitale économique italienne par un commando de la CIA (agence centrale de renseignement américaine) puis transféré en Egypte.

Le parquet de Milan, qui surveillait l'homme, entame alors une longue enquête dont les résultats se présentent aujourd'hui comme explosifs. Deux responsables des services secrets militaires (Sismi), Marco Mancini, chef de la 1ère division et numéro deux du service, et son prédécesseur Gustavo Pignero, ont été arrêtés mercredi.

 Des aveux de plusieurs fonctionnaires du Sismi, cités vendredi par la presse italienne, confirment la collaboration du service avec la CIA dans l'enlèvement de l'imam, ce que l'ancien chef du gouvernement Silvio Berlusconi et le patron du Sismi, Nicolo Pollari, ont toujours démenti. Or les enquêtes ordonnées par la magistrature dans le cadre de cette affaire impliquent M. Pollari dans un autre scandale connexe: l'existence d'un centre secret du Sismi à Rome, chargé de "la désinformation, du dépistage des enquêtes et d'espionnage abusif" et géré par Pio Pompa, "un fidèle" de M. Pollari, révèle vendredi le quotidien Il Corriere della Sera. Renato Farina, journaliste renommé et vice-directeur du quotidien de droite Libero, auteur de plusieurs articles impliquant Romano Prodi, accusé d'avoir autorisé les vols de la CIA lorsqu'il était président de la Commission européenne, figurait dans les livres de comptabilité de M. Pompa.

M. Pompa informait régulièrement son chef, Nicolo Pollari, de toutes ses opérations, précise le journal. "Dans les archives secrètes gérées par Pompa au moins deux reçus ont été trouvés, signés par le nom de code d'informateur que le journaliste utilisait : "Bouleau". Les montants sont de 2.000 et 5.000 euros", écrit le quotidien. "Tempête sur Pollari", écrit le journal La Repubblica tandis que le Corriere della Sera estime que le patron du Sismi "pourrait être contraint à se retirer". Mais l'enquête sur l'enlèvement de l'imam a également profondément affecté les relations italo-américaines. Vingt-six Américains, dont 25 membres de la CIA et un colonel de l'armée de l'air, sont accusés par la justice italienne d'être impliqués dans cette affaire.

Le parquet de Milan a présenté sous le précédent gouvernement des demandes d'extradition. Mais le ministre de la Justice n'a jamais avalisé cette requête et sa décision a été durement critiquée à l'époque par l'opposition de gauche dirigée par Romano Prodi, aujourd'hui chef du gouvernement italien. Aujourd'hui, "le gouvernement est dans la merde. Les Américains sont furieux. La tête des services de renseignement est menacée", a déclaré le secrétaire d'Etat à la présidence du Conseil des ministres Paolo Naccarato, cité par le Corriere della Sera.

Logiquement, le nouveau ministre italien de la Justice devrait signer les demandes d'extradition, mais les relations entre Rome et Washington sont déjà affectées par la décision de retirer le contingent militaire italien d'Irak et la requête d'extradition ne pourrait que les envenimer davantage encore. "Le gouvernement actuel devra prendre des décisions dans l'intérêt de la nation. Et si cela s'avère nécessaire il pourrait invoquer le secret d'Etat" et bloquer l'action judiciaire, a anticipé l'ancien magistrat Antonio Di Pietro, actuellement ministre des Infrastructures
 
 
 
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