18 juillet 2006
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Des chiffres et des lettres…
Lundi 17 juillet 2006 – Yom chéni 21 tamouz 5766, 19h30…
Nous étions tous réunis, rue Saint Lazare, dans cette synagogue du 9e arrondissement de Paris. Tous, c’est-à-dire quelques courageux -peut-être 300 ou 400 âmes-, hommes et femmes venus témoigner notre attachement à Israël et à nos frères et sœurs, civils et militaires, actuellement dans la tourmente d’un conflit que nous vivons par procuration.
Sans m’attarder sur les discours de circonstance, plus ou moins poignants et unificateurs, j’aimerais m’arrêter sur deux éléments, qui, je l’espère, seront prémonitoires.
Tout d’abord le nom de cette synagogue où nous avons célébré cet office et lu des psaumes : « BÉRIT CHALOM », que l’on pourrait traduire par « Alliance de (par) la Paix ».
Ensuite le numéro de la rue où se situe ce lieu de prière : 18. Pour les initiés l’analogie est tout de suite trouvée, « 18 » c’est la valeur numérique du mot hébreu : « ‘HAÏ » – Vie, Vivra.
C’est ce message optimiste que je veux garder de cette soirée. Message de vie, message de paix, message d’espoir. Message universel pour toutes celles et tous ceux qui souffrent, quel que soit le côté de la frontière où ils se trouvent. Mais aussi message de révolte et d’indignation à l’égard de tous ces ennemis de la paix, pyromanes sans âme, qui d’une manière ou d’une autre, ne visent qu’à l’extermination d’Israël et de son peuple.
AM ISRAËL ‘HAÏ !!!
Laurent J.
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