24 novembre 2006
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14:53
RAS-LE-LE BOL, MONSIEUR DELANOË
Paris est sens dessus dessous.
Les embouteillages paralysent la capitale et arriver à l'heure à son travail ou à un rendez-vous est devenu un exploit.
Alors que Paris est défiguré par des chantiers dont on ne voit pas la fin, l'activité économique subit de plein fouet les restrictions imposées à la circulation et au stationnement. Certains commerces de proximité sont directement menacés.
Votre politique aboutit à rejeter de façon injuste ceux qui, vivant à l'extérieur de la capitale, se rendent à Paris pour y travailler ou y consommer et qui, ce faisant, participent à sa richesse.
Les restrictions imposées à la circulation automobile n'ont pas été compensées par un renforcement des transports en commun : on attend toujours autant les bus, on cherche en vain des taxis introuvables et on s'entasse de plus en plus dans le métro.
La politique menée a des incidences graves en matière de sécurité et de santé publique : elle a conduit à une recrudescence du nombre d'accidents, qui menace en priorité les conducteurs de véhicules deux-roues, les cyclistes et les piétons (!!), tout en ralentissant fortement, partout, la circulation des véhicules de secours d'urgence !
Vous vous étiez engagé à faire baisser la pollution, elle ne baisse pas plus qu'avant.
Je demande qu'une large concertation associe :
- Paris et les communes voisines
- Les pouvoirs publics et les représentants de la société civile (entreprises, artisans/commerçants, associations)
- Les élus et les citoyens
Et qu'elle s'appuie sur les besoins réels et les inquiétudes légitimes qui s'expriment pour réorienter la politique parisienne de circulation.
La circulation n'est ni de droite ni de gauche, c'est une liberté fondamentale !
Pour signer la pétition en ligne, cliquez ici
Pour télécharger un exemplaire de la pétition à imprimer et faire circuler autour de vous, cliquez ici
Les embouteillages paralysent la capitale et arriver à l'heure à son travail ou à un rendez-vous est devenu un exploit.
Alors que Paris est défiguré par des chantiers dont on ne voit pas la fin, l'activité économique subit de plein fouet les restrictions imposées à la circulation et au stationnement. Certains commerces de proximité sont directement menacés.
Votre politique aboutit à rejeter de façon injuste ceux qui, vivant à l'extérieur de la capitale, se rendent à Paris pour y travailler ou y consommer et qui, ce faisant, participent à sa richesse.
Les restrictions imposées à la circulation automobile n'ont pas été compensées par un renforcement des transports en commun : on attend toujours autant les bus, on cherche en vain des taxis introuvables et on s'entasse de plus en plus dans le métro.
La politique menée a des incidences graves en matière de sécurité et de santé publique : elle a conduit à une recrudescence du nombre d'accidents, qui menace en priorité les conducteurs de véhicules deux-roues, les cyclistes et les piétons (!!), tout en ralentissant fortement, partout, la circulation des véhicules de secours d'urgence !
Vous vous étiez engagé à faire baisser la pollution, elle ne baisse pas plus qu'avant.
Je demande qu'une large concertation associe :
- Paris et les communes voisines
- Les pouvoirs publics et les représentants de la société civile (entreprises, artisans/commerçants, associations)
- Les élus et les citoyens
Et qu'elle s'appuie sur les besoins réels et les inquiétudes légitimes qui s'expriment pour réorienter la politique parisienne de circulation.
La circulation n'est ni de droite ni de gauche, c'est une liberté fondamentale !
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23/11/2006
Le Perroquet Libéré
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