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Bande de Gaza: 3 Palestiniens tués, 4 blessés dans un raid aérien israélien
GAZA (AFP) -
Trois Palestiniens, dont un enfant, ont été tués et quatre autres blessés mercredi dans un raid aérien israélien à Gaza, visant un site servant de camp d'entraînement aux groupes armés palestiniens, a-t-on appris de source médicale.
Une fillette âgée de quatre ans, Raja'a Abou Soufiane, et deux autres Palestiniens, Ahmad Al-Mishal, 17 ans, et Ramadan Al-Majdalawi, 23 ans, ont été tués dans le raid, ont indiqué des sources médicales à l'hôpital Al-Chifa de Gaza.
Quatre autres personnes ont été blessées dans l'attaque, selon la même source. Un précédent bilan faisait état de deux morts et cinq blessés, dont un, grièvement atteint, a succombé à l'hôpital.
Un porte-parole de l'hôpital, Joumaa Al-Saqa, a affirmé que toutes les victimes du raid, à l'exception de Majdalawi, étaient des civils. Ramadan al-Majdalawi était un activiste des Comités de la Résistance populaire, ont indiqué des sources de ce groupe armé.
Un hélicoptère de l'armée israélienne a tiré au moins une roquette sur le site, situé dans le quartier Al-Zarqa, dans le nord-est de la ville de Gaza, ont affirmé des témoins.
Un porte-parole de l'armée israélienne a confirmé le raid.
"L'armée a attaqué un camp d'entraînement utilisé par des terroristes dans la bande de Gaza. Ils y préparaient des activités terroristes contre des objectifs israéliens", a déclaré ce porte-parole.
Au moins 172 Palestiniens et un militaire israélien ont péri dans les opérations israéliennes lancées le 28 juin pour retrouver un militaire israélien capturé trois jours plus tôt par des groupes armés palestiniens et mettre fin aux tirs de roquettes artisanales contre le sud de son territoire.
Les derniers décès portent à 5.324 le nombre de tués depuis le début de l'Intifada en septembre 2000, en grande majorité des Palestiniens, selon un bilan de l'AFP.
De son côté, le secrétaire général de l'Onu, Kofi Annan, estime que la guerre au Liban ne doit pas faire oublier les événements à Gaza, où il considère "injustifiable" la mort de centaines de civils du fait des attaques israéliennes, a indiqué mercredi son porte-parole.
M. Annan estime que "les événements tragiques du Liban et du nord d'Israël ne doivent pas faire oublier la nécessité urgente de travailler à une solution dans la crise actuelle" à Gaza, a déclaré Stéphane Dujarric, dans un communiqué.
"Le fait que les forces israéliennes continuent de tuer et de blesser des centaines de civils, dont des enfants, à Gaza est totalement injustifiable", poursuit-il.
"L'arrestation arbitraire de nombreux Palestiniens de haut rang, dont le Dr Aziz Dweik, président du Conseil palestinien, est un sujet de préoccupation particulier car il fragilise davantage les institutions palestiniennes qui doivent être préservées si l'on veut aboutir à une solution du conflit israélo-palestinien prévoyant deux Etats", ajoute le texte.
M. Annan "appelle également à la cessation des attaques à la roquette contre Israël à partir de Gaza, qui visent aveuglément des civils israéliens. Il appelle les parties à reprendre leur dialogue sans retard et se félicite des efforts continus du gouvernement égyptien pour le faciliter".
Il estime que les événements tragiques à Gaza, en Israël et au Liban démontrent l'urgence qu'il y a à relancer le plus tôt possible un processus de paix global", conclut le communiqué.
Liban: l'extension de l'offensive israélienne n'a pas commencé
JERUSALEM (AFP) -
L'extension de l'offensive terrestre israélienne au Liban sud, approuvée mercredi par le cabinet de sécurité israélien, "n'a pas encore débuté", a confirmé jeudi Aviv Pazner, l'un des porte-parole du gouvernement israélien.
"Le Premier ministre Ehud Olmert et le ministre de la Défense Amir Peretz ont été mandatés par le cabinet pour décider du moment du début de cette opération. Pour le moment, elle n'a pas encore débuté", a indiqué M. Pazner. Il s'est refusé à donner toute autre précision.
Selon l'ensemble des médias israéliens, jeudi, citant des responsables politiques, la décision d'étendre les opérations terrestres au Liban sud a été momentanément suspendue pour donner une chance aux efforts en cours à l'Onu en vue de mettre fin aux hostilités au Liban.
L'armée israélienne, interrogée par l'AFP, continue d'affirmer qu'aucune opération d'ampleur n'a encore débuté au Liban sud, au lendemain du feu vert donné par le cabinet de sécurité israélien à l'armée pour étendre les opération jusqu'au fleuve Litani et stopper, ou du moins réduire de façon draconienne, les tirs de roquettes du Hezbollah sur le nord d'Israël.
"Aucune opération d'ampleur significative n'a encore débuté au Liban sud", a assuré une porte-parole militaire. Aucun responsable politique israélien n'était joignable pour confirmer ou démentir les informations de la radio. La radio militaire citant un haut responsable politique non identifié fait état d'un report "d'au moins 48 heures" de l'extension des opérations terrestres, alors que la radio publique ne fait état que d'un délai de "quelques heures".
Le cabinet de sécurité israélien a mandaté le Premier ministre Ehud Olmert et le ministre de la Défense, Amir Peretz, "pour décider du moment de la mise en oeuvre des plans présentés", selon le communiqué officiel diffusé par la présidence du Conseil israélien, à l'issue de la réunion.
"Seul un succès politique d'Israël suspendra l'offensive", ont affirmé mercredi des membres du cabinet, au sortir de la réunion, rapporte jeudi le Yediot Aharonoth. "Si nous ne parvenons pas à atteindre par un processus politique les objectifs que nous nous sommes assignés, nous devrons agir militairement de toutes nos forces, même au prix de ce qui nous est le plus cher, des vies humaines", a déclaré pour sa part, M. Olmert, selon le quotidien. "Les troupes attendent l'ordre (de se mettre en mouvement)", titre en "une" le journal.
"La décision d'étendre l'offensive momentanément suspendue", titre de son côté le Maariv. "Le cabinet a approuvé une extension de l'opération jusqu'au Litani, mais retarde sa mise en oeuvre", titre, enfin, le Haaretz.
Des combats se déroulaient jeudi matin entre l'armée israélienne et le Hezbollah chiite à l'intérieur de la ville de Marjayoun, au Liban sud, située à 7 kilomètres au nord de la frontière libano-israélienne, a indiqué la police libanaise.
Liban: violents combats au sud un mois après l'offensive israélienne
BEYROUTH (AFP) -
De violents combats opposaient jeudi dans le sud du Liban l'armée israélienne aux miliciens du Hezbollah dont la résistance ne faiblit pas, un mois après le lancement de l'offensive israélienne.
Israël assure cependant qu'il n'a pas encore lancé les opérations plus étendues à l'intérieur du territoire libanais, décidées mercredi par le cabinet de sécurité, officiellement pour donner une chance d'aboutir aux difficiles tractations à l'Onu pour un règlement du conflit lancé le 12 juillet.
Les blindés israéliens sont partis jeudi à l'assaut de Khiam, un bastion du Hezbollah, et ont pris le contrôle de la ville voisine de Marjayoun, a annoncé la police. Les colonnes israéliennes ont progressé dans la nuit de sept kilomètres en territoire libanais et sont parvenues aux portes de Khiam, a indiqué la police libanaise. De violents combats l'opposent au Hezbollah à l'entrée ouest de la ville. Un communiqué de la formation chiite a affirmé avoir détruit sept chars israéliens.
Une colonne israélienne a également pris le contrôle de la ville de Marjayoun, à 10 km au nord-ouest de Khiam, selon la police. Une colonne de blindés, appuyée par des tirs d'artillerie, a affronté toute la nuit les tirs de roquettes antichars des miliciens chiites, alors que Khiam était pilonné par les bombardiers israéliens. Le Hezbollah a de facto confirmé la percée de Tsahal en affirmant que ses "combattants mènent d'âpres combats" à Khiam avec les unités israéliennes "faisant des morts et des blessés".
soir, l'armée israélienne avait procédé à d'importants mouvements de troupes à la frontière entre le nord d'Israël et le Liban sud, tandis que l'artillerie israélienne pilonnait systématiquement le sud du pays du Cèdre. L'annonce de ces combats a suscité des interrogations sur un début de l'offensive terrestre d'envergure, après le feu vert donné par le cabinet israélien de sécurité à une extension des opérations militaires.
Un porte-parole de l'armée israélienne a cependant assuré que cette offensive n'avait pas encore été lancée et qu'il s'agissait d'une "opération ponctuelle" contre les positions du Hezbollah. Selon les médias israéliens, jeudi, citant des responsables politiques, la décision d'étendre les opérations terrestres au Liban sud a été momentanément suspendue pour donner une chance aux efforts diplomatiques en cours à l'Onu. De violents combats ont également opposé le Hezbollah aux soldats israéliens qui tentent d'avancer sur un autre axe, à l'ouest de Khiam, près de al-Jibbaine.
Cette région du sud est celle où le gouvernement libanais s'est dit prêt à déployer 15.000 hommes dès le retrait d'Israël dans le cadre d'un règlement du conflit qui va entrer dans son deuxième mois. Mercredi soir, le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah s'est rangé à cette proposition. Ce projet, prôné par Beyrouth pour reprendre le contrôle du sud du pays, bastion du Hezbollah, vise à arracher un amendement au projet franco-américain de résolution qui prévoit l'arrêt des hostilités mais sans demander le retrait de Tsahal.
Ce projet de résolution dont le gouvernement libanais demande une modification permettrait à Israël de maintenir temporairement ses troupes au Liban, où 10.000 soldats israéliens sont déjà déployés. "Si le gouvernement libanais est prêt à envoyer 15.000 soldats dans tout le sud du Liban, cela aidera beaucoup le Liban, et les amis du Liban, à faire pression pour modifier le projet de résolution" au Conseil de sécurité de l'Onu, "ce qui ouvrira la voie à une solution politique à la crise", a déclaré M. Nasrallah.
Le chef du Hezbollah a aussi exhorté les habitants arabes de Haïfa, la troisième ville d'Israël, déjà visé par plusieurs salves de roquettes, à partir de chez eux. Côté israélien, le cabinet de sécurité a décidé mercredi d'élargir son offensive terrestre au Liban sud.
Celle-ci, selon le vice-Premier ministre et ministre du Commerce Eli Yichaï, devrait durer encore "plus de 30 jours". Il a ajouté que le Premier ministre Ehud Olmert et le ministre de la Défense Amir Peretz "doivent maintenant décider du moment opportun pour étendre les opérations". Alors que ses combattants continuent à défier Israël avec des tirs de roquettes quotidiens sur le nord du pays, Hassan Nasrallah a affirmé que le Hezbollah avait conservé sa capacité de frappe.
"Nous allons transformer la terre du sud en tombeau pour les soldats de l'adversaire", a-t-il assuré. Au Liban sud, des combats rapprochés entre le Hezbollah et l'armée israélienne ont infligé mercredi les pires enregistrées en une seule journée à Tsahal avec 15 morts et 38 blessés. A New York, les efforts au Conseil de sécurité en vue de la rédaction d'un projet de résolution retouché sur un cessez-le-feu semblaient piétiner.
Et les cinq "Grands" du Conseil de sécurité ont terminé leurs discussions mercredi en faisant état de progrès modestes, décidant de se réunir à nouveau jeudi matin. La France et les Etats-Unis divergent sur les moyens de prendre en compte le point de vue libanais, et le président français Jacques Chirac a averti qu'en cas de blocage, Paris pourrait faire cavalier seul et déposer son propre texte. Selon une source diplomatique à l'Onu, la France a proposé un aménagement du projet de résolution suggérant que le retrait des forces israéliennes ne s'effectue que graduellement.
Un projet d'attentats multiples déjoué, le Royaume-Uni en alerte maximale
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Une désinformation galopante. Et il n'y a pas que le photographe de Reuters....
Dans le conflit qui oppose Israël à un monde arabe trop souvent haineux la désinformation va bon train. Nous en avons eu un exemple récent avec les photos truquées de ce photographe libanais qui avait vendu quelque 900 photos à Reuters. Supercherie qui n'a été découverte que grâce à la vigilance d'Internautes. On a pu entendre des confrères tenter de le dédouaner en disant qu'un pigiste a des pressions financières. Mais ne s'agirait-il pas plutôt d'actes militants ? Pour tout savoir sur le trucage des photos : En anglais mais les photos parlent d'elles-mêmes et cela vaut le détour :
Autre faux diffusé par Reuters : cette fois des leurres lâchés par un avion sont qualifiés de missiles et...multipliés par 3. En anglais.
http://mypetjawa.mu.nu/archives/184206.php
Autre accusation de photo mise en scène. On voit un « mort » partiellement enseveli sous des décombres mais aussi propre que s'il venait de sortir d'une douche qui ressemble étrangement à un « sauveteur » photographié plus tard.
http://michellemalkin.com/archives/005687.htm
A saluer, à cet égard, le courage d'un grand reporter de CNN, Anderson Cooper,
qui expliquait récemment comment le Hezbollah avait manipulé un groupe de journalistes lors "d'une visite guidée" très orientée, menaces feutrées y compris. En a-t-on entendu parler ici ?
A voir absolument. En anglais.
http://newsbusters.org/node/6574
Et que dire du fait que dans un 13 heures France 2 ait utilisé des images d'Al Manar, chaîne antisémite du Hezbollah, mouvement terroriste, pourtant interdite de cité en France à l'issue du long combat mené notamment par le CRIF ?
Reportage sur les morts civils libanais de la nuit dans des frappes israéliennes, nous disait-on.
Et on a vu s'afficher sur les écrans de France 2 le bandeau d'Al-Manar.
Utilisation scandaleuse, sil en est. Et, de plus, qui est allé vérifier la véracité de ces images ou de leur commentaire ?
Il faut voir les films de Pierre Rehov, très sollicité par les médias américains, rarement vu ici, si ce n'est parfois dans C dans l'Air sur TV 5, qui dénonce et démonte la désinformation palestinienne, notamment à Jénine.
Ils sont disponibles à la FNAC ou Virgin ou peuvent y être commandés ainsi que dans la grande distribution.
Voir : www.pierrerehov.com
La question est désormais de savoir de combien de faux nous avons été ainsi abreuvés.
Faux qui manipulent les opinions publiques et incitent, faut-il le rappeler, à mettre Israël ainsi gravement diffamé, au banc des nations.
Hélène Keller-Lind
TOULON (AFP) -
Jacques Chirac fait le point à Toulon sur la crise israélo-libanaise
Le président Jacques Chirac a déclaré mercredi à Toulon lors d'une conférence de presse tenue à l'issue d'une réunion ministérielle restreinte sur le Liban, que la crise israélo-libanaise menaçait "l'équilibre de toute une région", et souligné les efforts déployés par la France pour "parvenir à un cessez-le-feu et à un règlement durable de cette crise".
Le chef de l'Etat, qui a interrompu ses vacances au fort de Brégançon, sur la côte varoise, est arrivé en hélicoptère à la préfecture du Var où il a présidé une réunion , avec le Premier ministre Dominique de Villepin et les ministres de la Défense et des Affaires étrangères sur le Liban, Michèle Alliot-Marie et Philippe Douste-Blazy.
Cette réunion sur la crise au Proche-Orient, alors que les négociations se poursuivent à New York en vue de l'adoption d'une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies sur le Liban, visait à "faire le point sur la situation au Liban et sur les activités diplomatiques en cours en vue d'aboutir à un cessez-le-feu.
A l'issue de cette réunion, il a tenu un point presse au cours duquel il a fait état d'une "réserve" américaine au projet de résolution français à l'Onu, et mis en garde contre une renonciation "à un cessez-le-feu immédiat" qui serait "la plus immorale des solutions". Le chef de l'Etat a décrit un "enchaînement dramatique de deuils, de souffrances, de destructions innombrables" où "chaque jour apporte de nouvelles horreurs".
"Face à cette crise qui menace l'équilibre de toute une région, la France s'est aussitôt mobilisée avec deux priorités", a-t-il dit, évoquant à la fois le secours aux populations éprouvées et la voie diplomatique. "On ne résoudra rien par la force. Toute solution doit passer par un accord politique", a-t-il insisté. Jacques Chirac a également déclaré que "l'expérience l'a conduit à ne pas faire tout à fait confiance à la Syrie", soulignant que ce pays pourrait donner "un acte de confiance" sur le Liban.
PARIS (Reuters) - Bachar al Assad a reçu mardi à Damas le député socialiste Jack Lang, premier responsable français à rencontrer officiellement le président syrien depuis le début de la guerre au Liban il y a environ un mois.
L'ancien ministre a précisé à Reuters qu'il avait prévenu le ministre des Affaires étrangères, Philippe Douste-Blazy, de sa démarche "entièrement personnelle" qui se situe dans le droit fil de la position du Parti socialiste.
Lundi, au nom de son parti, Jack Lang a demandé à Jacques Chirac de n'écarter aucun pays dans les négociations en vue d'une issue au conflit au Liban, Syrie comprise.
Face à Bachar al Assad, il a défendu les efforts diplomatiques français, notamment la séquence en trois étapes préconisée par Paris pour sortir de la crise au Liban : cessez-le-feu, accord politique puis déploiement d'une force multinationale.
"Je lui ai dit que je soutenais les efforts de la diplomatie française dans la région mais qu'il ne fallait pas à nos yeux écarter la Syrie. C'est la thèse officielle des socialistes français", a-t-il déclaré au cours d'un entretien téléphonique de Damas.
Pour Bachar al Assad, a rapporté Jack Lang, l'interprétation selon laquelle Damas bloque tout processus de paix dans la région "n'est pas exacte". Le président syrien estime que "les portes de la paix sont ouvertes", a-t-il expliqué.
"Il a dit qu'il était favorable à un cessez-le-feu équitable et qu'il approuvait les sept points du plan Siniora", a-t-il raconté, allusion à la proposition du Premier ministre libanais.
De plus, "il est favorable à un accord provisoire de paix pour la région mais, à ses yeux, il doit s'agir d'un processus d'accord général et régional sans aucune exclusive".
Interrogé sur l'influence que pourrait avoir le gouvernement syrien sur le Hezbollah, Bachar al Assad a estimé qu'il s'agissait d'une "question libanaise seulement".
"Il considère que le Hezbollah est libre de ses comportements", a expliqué Jack Lang.
La diplomatie française a été en pointe en 2004 pour parvenir à l'adoption de la résolution 1559 des Nations unies, prélude au départ des troupes syriennes du Liban.
Après l'assassinat en février 2005 de l'ancien Premier libanais Rafic Hariri, un proche de Jacques Chirac, Paris a également beaucoup oeuvré pour l'ouverture d'une enquête internationale aux côtés des Etats-Unis.
Depuis, Paris ne juge "pas souhaitable" de parler à Damas mais multiplie en revanche les gestes d'ouverture en direction de Téhéran.
Selon Jack Lang, Bachar al Assad "aimerait renouer avec la France. Il est attristé de la situation diplomatique actuelle avec Paris".
Le "présidentiable" socialiste doit rentrer à Paris mercredi et devrait rendre compte de son entretien au ministre des Affaires étrangères.
"Petit poucet venu apporter son petit caillou blanc pour la paix", il a également prévu de rencontrer avant la fin du mois le Premier ministre israélien, Ehud Olmert, en Israël.
Suite à la demande du responsable de sécurité du kibboutz Guinossar
Il conviendrait de lui faire parvenir par tous moyens 20 ou 30 ventilateurs
et une centaine de matelas pour les enfants du kibboutz
qui vivent plus de 14 h heures par jour dans les abris du musée du kibboutz.
Merci de nous contacter
Le Secours Français aux Sinistrés d'Israël
Le President
Sammy GHOZLAN 0609677005
Sylvain 06 98 38 80 09
Danielle 06 61 61 55 22
De plus il faut savoir que les télévisions francophones
(antenne 2 et tv5) ne retransmettent plus sur cette région
Le responsable de la sécurité souhaiterait exposer à des journalistes français
les conditions de vie au quotidien des kibboutznikim
Danielle Ferra
Vice Présidente