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  • : La Chaine d'Union
  • : Lettre d'actualité, avec un apport de symbolisme, et de spiritualité, accés le plus souvent sur un axe Moyen- Orient, Europe, et Amérique du Nord.
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9 août 2006 3 09 /08 /août /2006 14:57

BIENVENUE AU QUÉBECKISTAN
par Maurice G. Dantec


(Publié le 29 juillet 2006)



Le numéro deux du club de retraités nommé Al-Qaeda s’est fait entendre, avant-hier, sur sa station de télévision préférée, entre un sketch de Dieudonné et une lecture publique en langue bédouine des œuvres complètes de M. Falardeau.

Après des jours et des jours de Grand Magic Circus pro-islamiste dans toutes les capitales « occidentales », qui n’ont plus d’occidentales que le nom, l’allocution du débile mental enturbanné était, en fait, à la fois ridicule (comme toujours), pathétique (pour ceux dont la compassion s’éveille à la vue d’un chamelier semi-illettré) et surtout parfaitement inutile.

En effet, en proclamant l’union de tous les combattants du Jihad pour refonder le « Califat » de l’Irak à l’Espagne, le bédouin cavernicole a semble-t-il raté un épisode de la récente évolution de ce qui fut un jour l’Europe, celle qui disparaît des radars de l’histoire au moment même de sa « constitution ».

L’abruti gauchiste nommé Zapatero, dont on me dit qu’il va devenir l’icône d’un prochain film basé sur son héroïque courage politique (plus ou moins produit par le clown Michael Moore), Zapatero disais-je, ou Patazero, comme on voudra, est d’ores et déjà, en effet, sur le point de satisfaire aux exigences coraniques des crétins talibans de toutes obédiences.

Lors d’une de ces dernières apparitions télévisées, ce Premier ministre d’une Espagne à jamais confite dans la culpabilité anti-franquiste s’est ostensiblement montré avec, autour du cou, cette espèce de torchon de cuisine à carreaux – nommé keffieh – que les assassins et les violeurs palestiniens portent ostensiblement, entre deux crimes, et deux spectacles de pleureuses à you-you professionnelles. 

Notons le comique de la configuration géopolitique du Grand Djihad qui s’en vient : il sera plus difficile aux génocidaires coraniques de prendre le pouvoir dans certaines parties du Moyen-Orient que de subvertir en profondeur les institutions de la « République » ou de la « Commission » de Bruxelles dont le but désormais avoué est l’islamisation terminale du continent.

Au Québec, la situation est plus risible encore, cette micro-France jacobine plantée au milieu de l’Amérique est de fait l’avant-garde du mouvement nihiliste général qui a emporté mon pays dans la voie du social-chirakisme, autant dire de l’idéologie post-gauchiste qui, avec l’Islam, s’est trouvée une utopie de rechange, le slip marxiste n’étant plus tout à fait présentable passé le XXe siècle.

Les inénarrables sorties des sieurs Landry, Boisclair, Coderre, Duceppe et consorts doivent être lues à travers la double réfraction qu’entretiennent France et Québec depuis les origines, c’est à dire depuis leur DÉFAITE ontologiquement consommée, et amplement justifiée.

La France « pacifiste » des années 20 et 30 refusa, au nom des « principes de la vie humaine » de se battre contre Hitler. On sait ce que cela lui a coûté : sa disparition de l’Histoire.

Certes, pour un « pays » sans historicité autre que la mythologie trudeauiste, le pacifisme est devenu une seconde nature qui traverse absolument TOUS les champs politiques en présence.

Jusqu’aux Ahmanidejab du Plateau Mont-Royal, tel M. Falardeau, qui, entre deux locutions exprimées par l’anus, crache sur le cadavre d’un soldat onusien, parce que ce pauvre « crétin » était un Canadien de l’Ouest, autant dire un sale redneck. Rien de raciste dans cet aveuglant éclat de la pensée locale, je vous rassure, pour être racisse, au Québec, c’est comme en France, il faut s’en prendre à ceux qui veulent ouvertement votre destruction en tant qu’Européen.

La victime aurait été québécoise, elle aurait peut-être eu droit à une salve d’honneur des « Patriotes » qui au passage auraient probablement regretté que ce « Français » soit mort pour autre chose que Chicoutimi et les rédacteurs du Couac.

Ainsi, de toutes parts, les masques tombent, dans le fracas des civilisations suicidées.

Post-fascistes, post-gauchistes, post-libéraux, post-nationalistes, et tous véritables suppôts du Hezbollah, sont désormais rassemblés sous l’étendard du totalitarisme vert-brun-rouge, qui au final ne donne que cette vilaine couleur cacadoigt qui leur sied si bien au teint.

Falardeau préfère un marcheur du désert venu de Médine à un Indo-Européen Britton qui partage avec la France les racines mêmes de l’Europe : Rome, la Grèce, le christianisme, la civilisation celtique, la culture germanique. Que reste-t-il à ajouter sans s’esclaffer jusqu’à l’infarctus du myocarde ? L’épitaphe des nationaux-socialismes petits-bourgeois pourra servir de slogan aux prochains festivals Juste Pour Rire, jusqu’à la fin des temps.

La IVe guerre mondiale vient de commencer pour de bon, et il ne sera fait aucun quartier, surtout aux traîtres et aux collabos, c’est à dire tous ceux qui (comme en 1940 dans mon pays d’origine) amalgament sciemment le peuple libanais, qui vient de se débarrasser de la tutelle syrienne, avec les tueurs à gages du Hezbollah, comme la propagande vichyste pleurait chaque jour les méchants bombardements alliés qui frappaient la « Terre de France », occupée par les SS et les autres supplétifs du Mahomet du Tyrol.

Lorsque j’entends un bédouin local ou un abruti gauchiste oser comparer les merdaillons du Hezb à la RÉSISTANCE française, je comprends mieux le mot de la fin de M. Falardeau, dans ce qu’il convient de désigner comme sa fosse septique « écrite », nommée « blog » :

La France, monsieur le dhimmi, celle que vous conspuez, on ne sait trop pourquoi, n’existe plus depuis longtemps.

Le Frankistan, qui s’y est substitué, n’est rien d’autre que le modèle de votre Québec gaucho-pacifiste concentré sur une nation dont l’histoire a duré deux mille ans. Notre cadavre, plus gras, est plus lent à pourrir, et les vers abondent, accompagnés de l’odeur caractéristique de l’usine d’équarrissage. Le vôtre, anorexisé par 40 ans de Révolution Tranquille (TRÈS tranquille) s’évaporera bientôt comme une bulle spéculative quelconque, dans un projet d’indépendance qui vous enchaînera à une France morte, et à son islamisation qu’on ne peut même plus qualifier de « rampante ».

Lorsque vos villes seront envahies par les mêmes racailles que celles qui brûlent 200 voitures par jour en France à l’heure où je vous parle, lorsque des milices du Hezbollah seront, par voie légale (ah, cette Charte des Droits du Bédouin et des Libertés du Terroriste !), autorisées à patrouiller avec vos forces de police, comme c’est le cas en Belgique, lorsque vos écrivains (s’ils vous en reste) se feront assassiner dans la rue – comme aux Pays-bas –, lorsque vos femmes devront baisser les yeux au passage des gros bras mahométans et de leur infâme marmaille – comme dans les Territoires Occupés de Seine Saint-Denis –, lorsque vos petits « zacquis sociaux » seront bien plus gravement menacés par la sous-pensée coranique que par les méchants catholiques « intégristes » que vous conspuez du haut de votre athéisme de cuisine, lorsque la Croix du Mont-Royal devra être retirée de la vue de ces braves musulmans Montréalais afin de ne pas « choquer leur sensibilité », lorsque Israël aura disparu, dans un vaste mouvement festif qui unira les raclures communistes, les crétins fascistoïdes pseudo-nationalistes, les libéraux capitulards bon teint, les « souverainistes » sans souverain et les post-gauchistes nourris à la pâtée pour clébard Noam Chomsky ou aux dessins animés de Michael Moore, vous serez alors absolument SEULS.

Restera probablement la forteresse américaine qui, je l’espère, vous abandonnera à votre sort, comme elle laissera le Titanic France sombrer corps et âme dans les eaux noires de l’oubli historique, précédé du grand carnage.

La Guerre qui a été initiée le 11 septembre 2001 n’a pas encore été comprise à sa juste mesure. C’est logique, le paradigme du XXe siècle a explosé sous nos yeux, et la « Guerre Froide » s’est transmutée en Armageddon.

Peu de temps après la seconde Guerre mondiale, le penseur allemand national-conservateur Ernst Nolte présentait cette analyse succincte, et définitive, de l’événement : La seconde guerre mondiale est la première guerre civile européenne.

Il convient donc de dire que la IVe guerre mondiale qui vient de commencer est la première GUERRE CIVILE MONDIALE. Ceux qui chialeront sur les dommages collatéraux feraient bien de se souvenir de Dresde et d’Hiroshima.

À tous les Landry, Duceppe, Falardeau, Durivage, Khadir, Coderre et consorts, c’est-à-dire à tous les PRO-NAZIS québécois qui soutiennent ouvertement le régime iranien, ou ses combattants illégaux, à la fois négationnistes et propageant l’apologie de l’Holocauste (en gros, pour leur deux neurones et demi : l’Holocauste n’a pas existé, mais c’était vachement bien), à toutes les Louise Arbour, les Carla Del Ponte, à toutes les Françoise David, à tous les nazillons gauchistes dont les nihilismes pitoyables convergent vers la soumission à l’Islam (un pléonasme si on connaît la signification du mot « A’slama »), il est temps, en toute tranquillité, d’expliquer qu’ils auront à attendre de nous le même genre de compassion qui animait les apprentis coiffeurs de 1945, quand furent tondues par milliers toutes les catins qui s’étaient enfilées du boche, autant dire les amis de M. Pierre Falardeau, pour qui les Québécois ont eu tort de se battre pour la France à cette époque.

Vers 1940, Falardeau aurait probablement rejoint les petits nazillons de M. Arcand, je ne sais pourquoi, en dépit de son acclimatation naturelle aux rigueurs arctiques, je l’imagine mal sur le Front russe, défendre ses idées contre les troupes d’élite sibériennes, on ne peut tout ne même pas demander à un révolutionnaire tranquille de se sacrifier pour des idées dont il ne fait qu’avaler et régurgiter l’urine.

On peut tout juste – et encore – le prévenir de se tenir prêt à l’acte de justice (un Méga-Nüremberg ?) qui le frappera un jour, lui et ses minables complices.

 

En attendant, bonnes vacances à tous. (...)

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9 août 2006 3 09 /08 /août /2006 14:31

MESSAGE DU SFSI

 

SECOURS FRANCAIS

POUR LES SINISTRES D'ISRAEL

 

 

De façon délibérée, le HEZBOLLAH comme le HAMAS bombardent chaque jour, les villes israéliennes du Nord et du Sud, au moyen de plusieurs centaines de missiles, qui tuent, blessent la population civile, et détruisent leurs maisons, leurs écoles, leurs foyers.

  

Près d'un million d'hommes, femmes, enfants, bébés, vieillards israéliens sont déplacés, soit un cinquième de la société israélienne.

  

Afin de les aider, nous avons réactivé le :

 SECOURS FRANCAIS POUR LES SINISTRES D ISRAEL

   (Association créée lors de la Guerre du Golfe,

au cours de laquelle l'Irak lançait aveuglement des Scuds sur Israël.)

 

   

Adressez vos dons à :

 SECOURS FRANCAIS POUR LES SINISTRES D ISRAEL

  40 rue d'Hautpoul   75019 PARIS

 

 

 Un reçut  CERFA vous sera adressé.

Pour le Président

 Danielle Ferra

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9 août 2006 3 09 /08 /août /2006 12:37

 

 Les Gosses de Cana

Un docudrame mis en scène

mercredi 9 août 2006

 

Un docudrame mis en scène et réalisé par le Hezbollah, avec « Casque Vert » et « Tee-shirt blanc » dans les rôles principaux.
Une coproduction
Daily Telegraph
- France 2
- AFP
- Newsweek
- The Independent
- The Guardian - etc.
 

Les « bloggueurs » anglo-saxons continuent leurs enquêtes sur l'affaire du « massacre de Cana », et utilisent tous les indices relevés dans les vidéos, photos et reportages pour reconstituer le vrai scénario de l'affaire.

Ce travail coopératif donne lieu à des dizaines de longues pages web, et commence à intéresser les grands « Networks » américains comme CNN, mais aussi quelques médias européens.

En effet, après l'affaire des photos truqués Reuters/Adnan Hajj découverte par ces mêmes bloggueurs puis confirmée par les professionnels et avouée par l'agence de presse, les limiers amateurs sont pris au sérieux.

On est loin des fumeuses théories conspirationnistes à la mode X-Files des Thierry Meyssan et autres islamogauchistes.

Néanmoins, France-Echos se gardera d'avancer des informations pas encore recoupées et confirmées par des experts, bien que l'hypothèse de victimes directes de bombardements israéliens prenne de plus en plus de plomb dans l'aile.

Par exemple, notre « infirmière pas crédule », qui avait déjà remarqué que la quasi totalité des enfants exhibés étaient handicapés alors qu'on prétend qu'ils appartiennentt seulement à deux familles, a fait d'autres constatations médicales intéressantes que nous ne manquerons pas de transmettre à nos confrères bénévoles d'outre-Atlantique.

Mais nul besoin d'être expert pour constater qu'AUCUN enfant victime ne porte AUCUN signe d'hémorragie, de contusion, d'os cassé, de défiguration, de blessure, d'écrasement, etc. alors qu'ils sont supposés être morts dans un sous-sol suite à l'effondrement d'un immeuble entier.

Quant aux sauveteurs qui auraient fouillé dans des gravas, ils sont remarquablement propres et exempts de poussière.

Alors quand on rassemble des dizaines d'indices de ce genre, vous commencez à imaginer les conclusions logiques qu'on doit en tirer.

A suivre !

Mais ce qui est déjà établi avec certitude, c'est la véritable mise en scène cinématographique et photographique des cadavres d'enfants.

Quelles que soient la cause et les circonstances de leurs décès - et sous réserve qu'ils soient tous réellement morts, car désormais la plus grande prudence doit être de mise ! -, on peut affirmer qu'une exploitation honteuse de ces gosses a été faite pour les exhiber aux photographes de façon à provoquer le maximum d'émotion victimaire.

Deux personnages omniprésents dans les clichés et vidéos sont les principaux acteurs - dans les deux acceptions du mot - de ce docudrame savamment mis en scène : « Casque Vert », déjà connu de nos lecteurs et identifié comme étant Abu Shadi Jradi, un entrepreneur de pompes funèbres à Tyr, et son complice « Tee-shirt blanc », un sympathisant du Hezbollah interviewé d'ailleurs par France 2.

L'une des meilleures descriptions de la reconstitution de leur scénario macabre est donné par le site EU Referendum sur la page http://eureferendum.blogspot.com/2006/08/qana-directors-cut.html

Hélas c'est en anglais (avis aux traducteurs…) mais une traduction automatique (par exemple via les outils linguistiques Google) donne déjà une bonne idée de cette abjecte instrumentalisation de corps d'enfants handicapés.

Francis Percy Blake
blake@france-echos.com

 

 

 


 

L'article original en Anglais à la fin de la traduction

L'article a été traduit en Français par un logiciel :

  

 

Qana - la coupe est pleine.... 

 
J'ai appelé ce poteau, « la coupe du directeur », comme c'est ce qui est il. Le récit ici est de la façon dont la combinaison de la gestion des médias de Hezbollah et du photo-journalisme moderne a transformé l'enregistrement d'un événement tragique en théâtre, dans la meilleure tradition de Michael Moore.

Comme mieux nous pouvons, nous avons rassemblé le pêle-mêle de l'évidence qui a entouré la production des photographies iconiques qui ont été éditées autour du monde, et les a mises dans la perspective. Plusieurs des photographies ont été employées avant, certains sont nouveaux à cet emplacement et d'autres sont les « encavateurs » visuels. Mais ce n'est pas les images, intrinsèquement, qui indiquent l'histoire, tellement en tant que leur commande et analyse. Faire de ceci ce que vous, mais je peux vous assurer que vous n'êtes pas censés les voir dans cette lumière.

Les débuts de « histoire » - pour cela est ce qui est il - ici, dans l'épave de buiding chez Qana qui exécute la fonction provisoire et malsaine d'une morgue. Il est d'ici, cela que les corps sont extraits, les appui verticaux essentiels de ce théâtre. Et se tenir du côté gauche de l'armature est l'un des deux tiennent le premier rôle des caractères de notre histoire, M. « Pièce en t-Chemise blanche ». Avec l'exactitude égale, bien que, nous pourrions l'appeler M. Hezbollah, pour les raisons qui deviendront évidentes.

M. « Pièce en t-chemise blanche » est affiché différemment en tant qu'un « sauveteur » et « riverain ». Nous le voyons dans beaucoup d'images, infiniment au centre des événements. Il a accès libre et incontesté à la construction effondrée, quoiqu'il ne soit pas dans l'uniforme et n'ait aucun rôle formel apparent. Mais, bien que nous voyions beaucoup de lui, il n'y a pas une image simple de blocaille creusante ou mobile il. Plus souvent, il se tient autour de l'observation, comme il fait ici. Mais pour ce qui ?

Bien, ici il est encore, cette fois à l'intérieur de l'épave et encore il réellement ne fait rien mais observe. Mais elle semble qu'il fait plus que cela. Nous obtenons l'impression distincte qu'il recherche les corps particuliers. Celui dans les bras de l'ouvrier de croix rouge, le corps de la « fille dans l'orange » n'est pas l'un d'entre eux. M. « Pièce en t-chemise blanche ne prend aucun intérêt dans lui et ne montre aucune émotion.

Et c'est dans cette armature que nous voyons le teeshirt (encart) qui semble avoir l'écriture sur le coffre. Un expert nous a contactés et convient, nous disant qu'il semble avoir été électroniquement brouillé pour obscurcir le message qu'il donne.

De toute façon, il est maintenant clair que le corps de la « fille dans l'orange » ne soit pas ce qui est voulu. Il est sans cérémonie vidé dehors, et est stretchered plus tard au loin à la flotte de attente d'ambulances. C'est ce qui arrive à la plupart des corps, qui sont portés vers le haut de la « ruelle de civière » par les parties divers des brancardiers par le jour. Comme avec d'autres accidents, l'emballage est commodément laissé ouvert pour permettre à des photographes de prendre des photos pendant que la civière passe.

Cependant, il semble alors y avoir quelque chose d'une agitation. Non un mais deux corps des filles ont été trouvés. De cet encavateur visuel de Newsnight nous les voyons étant manutentionnés dehors à l'ouverture du bâtiment détruit. À ce stade, les corps ne sont traités avec aucun soin ou dignité pendant qu'ils sont remis « à la Pièce en t-chemise blanche ». Mais il semble évident qu'il a trouvé ce qu'il a voulu. Et, bien que, du film il parle fort et gesticule, il y a aucun affichage de tout ce qui ne pourrait être interprété comme émotion.

Maintenant, entrer étape-droit est la seconde du notre tiennent le premier rôle des caractères, « casque vert ». Sans n'importe quelle agitation, il fait un encavateur pour le premier des corps de la fille, qui est rendu par « une Pièce en t-chemise blanche » deferant. Dans prochain M. « casque vert » d'armature (non montrée) berce le corps dans des ses bras, comme si pour le porter. Et ici nous voyons également que « la Pièce en t-chemise blanche » semble avoir changé son dessus, son nouveau vêtement fôlatrant un petit logo sur le coffre (bien que nous sachions maintenant, courtoisie du télégraphe quotidien que ce n'est pas le cas).

De toute façon, dans la prochaine armature, nous commençons à voir le plan de jeu. « Le casque vert » fait un « appareil-photo couru », portant le cadavre fortement photogène d'une petite fille, le tenir est des bras pour maximiser la valeur de choc et l'impact émotif. À ce stade, bien que, il marche jusqu'à la « ruelle de civière » et réserve son expression. C'est sombre mais pas de façon concluante dramatique. Plusieurs « snappers » passent par les mouvements et prennent sa photo mais les résultats sont peu employés.

Dans cette armature, bien que, « le casque vert » monte la « ruelle de civière » dans à pleine vue des médias de attente. Vue contre la blocaille, avec le corps de la fille dans des ses bras, il montre une intensité d'émotion que nous n'avons pas vue dans lui avant. Les marques de combinaison pour le projectile iconique qui est édité dans le monde entier et, ironiquement, est maintenant disponible imprimé sur une pièce en t-chemise blanche.

Hors du projectile, l'itinéraire est marqué dehors par des ouvriers et d'autres de croix rouge, parfumé des mashalls sur un itinéraire de course. Il a la sensation d'un ensemble fortement organisé de film, qui est avec précision ce qui est il. Et, dans cette armature, « le casque vert » enferme un ouvrier dans le théâtre pour fournir aux médias une autre occasion de photo. Celui qui le message cependant, il ne soit pas vrai. L'ouvrier en uniforme est simplement un appui vertical. « Le casque vert » n'a pas besoin de conseils - il a été à travers cet itinéraire sans cesse.

Le cadavre lui ayant atteint l'objectif, « casque vert » n'a aucune autre utilisation pour lui. Il le vide sur un guerney, le laissant dans le soin de l'ouvrier que nous avons appelé « l'homme dans le noir ». Il y a d'autres photo-occasions dans la fabrication et, « verdir le casque », ce sont sa priorité. Il n'est pas en ligne, sans attente égale pour voir le cadavre correctement fixé.

Tandis que « le casque vert » et « la Pièce en t-chemise blanche » pourraient avoir laissé ensemble (les cadavres étaient disponibles ensemble à l'épave), et portaient même les deux cadavres sur une civière simple, correctement couverte à l'égard pour les morts. Mais ce n'était jamais le plan de jeu. « Le casque vert » ayant été fait sa course d'appareil-photo, c'est maintenant le tour de son associé à montrer outre des trophées. Nous le voyons progresser dehors portant son cadavre photogène, entouré par les snappers et les cameraman de TV, qui sont évidemment prêts et l'attendant.

Ceci et le projectile précédent, pris en tant que « écran saisit » d'une émission de nouvelles de la France 2, sont matériel à peine iconique. Mais, car il approche le scrum de médias, « la Pièce en t-chemise blanche » assume une expression suffrie le martyre qui intensifie avec chaque pas. Sa bouche s'ouvre et il commence à crier passionément, en tant que He fait un pas en avant, son pas swiftening donnant un sens d'urgence. Cependant, l'urgence est fausse. Il a attendu « le casque vert » pour accomplir sa course avant de commencer même dehors.

Bien dans son pas maintenant et emoting librement, « la Pièce en t-chemise blanche produit le matériel iconique, ardemment capturé par les snappers. Cette image ici fait le télégraphe quotidien et beaucoup d'autres journaux. Encore, la combinaison du cadavre photgenic et « l'émotion crue » rendent l'image irresistable. C'est une exécution renversante, même si le résultat manque du contact essentiel de l'épave de fond.

Maintenant la stratégie devient claire. Autour du coin et sur l'élévation constituée par la « ruelle de civière » est les médias « violemment concurrentiels », coralled comme des moutons dans un stylo, attendant la prochaine photo-occasion d'leur être présenté. Et Hezbollah est sur le point de s'étendre sur l'exécution d'une vie, une histoire humaine d'intérêt tenant le premier rôle « le casque vert et « la Pièce en t-chemise blanche » dans un affichage de bravoure d'émotion crue.

Tout d'abord, vient ici « la Pièce en t-chemise blanche » pour une exécution soloe. Mais, alors que les snappers font leurs affaires, il ne les a pas tout. Le pas est trop utile. Il semble émouvant mais sa tête accroche et il n'y a aucune passion ou drame dans la pose. La blocaille est trop malpropre mordu et amorphe et il n'y a rien à dessiner l'oeil pour ajouter le contraste à la figure unique marchant vers le haut de la pente salir-répandue. Comme image, ceci simplement ne l'entaille pas.

À ce jour, « le casque vert » a en position pour un projectile duel, bien que de cet angle vous puissiez seulement juste voir la couronne l'épaule gauche de ses « Pièce en t-chemises » de casque de l'excédent. Même puis, la pose est magnificant - diriger jeté en arrière dans l'angoisse, le cadavre cluched à la poitrine et à une expression émouvante tout le cartel pour donner juste la note qui est nécessaire. Beaucoup de rédacteurs trouvent ceci a simplement raison et des précipitations pour l'imprimer.

Peut-être dans le cet, « la Pièce en t-chemise blanche l'exagère légèrement, mais elle n'est pas beaucoup différente de l'armature précédente. Ce qui se corrompt vraiment c'est « casque vert » dévisageant autour de l'épaule des « Pièce en t-chemises », car il progresse le long pour se rattraper par rapport à est co-star afin de prendre un rôle égal dans le drame. Mais sa présence à un angle si maladroit casse vers le haut le symmetary de la pose et crée une distraction. Néanmoins, Nicolas Asfouri pour des images d'AFP-Getty marque le pic, « des cris perçants d'un homme pour l'aide pendant qu'il porte le corps d'une fille tuée dans la grève israélienne sur Qana le 30 juillet », et il obtient utilisé par Newsweek, entre autres.

Comme projectile duel, celui-ci prochain est inutilisable. Regarder étroitement « le casque vert » et - bien qu'il ne soit pas le plus certainement - il semble sourire d'un air affecté. La combinaison de l'effort et de l'essai de présenter les gravitas appropriés prouve trop pour l'homme. Mais, si l'effet est grotesque, la « Pièce en t-chemise » se pavane sa substance. Viennent tellement dehors les ciseaux (ou le bouton de récolte) et « le casque vert » est histoire. Le résultat est parfait pour la page avant de l'indépendant.

Mais tout vient bien. Sans se déplacer de leurs positions, tous snappers doivent faire est ont laissé tient le premier rôle venu à eux. Maintenant les angles sont juste, le complément de paire et les expressions sont allumées tache. À une légende imaginative « homme criant pour l'aide… », elle est tout droit assortie la page avant du gardien. C'est substance award-winning, à moins que le prix devrait vraiment aller à Hezbollah.

Avec le PICS dans le sac, le cadavre est tellement poids mort. la « Pièce en t-chemise » le vide sur le gurney, le soin laissant aux bons offices « de l'homme dans le noir » pour l'attacher dedans et pour organiser la charge. Néanmoins, elle fournit une photo-occasion intense et les snappers ne manquent pas dehors. La difficulté est que les ombres sont mal et le visage du cadavre « du casque vert », celui qu'il était pressé tel à livrer, est obsured partiellement. Ceci ne marque pas vraiment comme image de dessus-taux.

Ni l'un ni l'autre n'est le prochain, mais comme image, il vaut la peine mille mots. Ayant obtenu le duo tenant le premier rôle, ce qu'ils ont voulu des cadavres, mettant sur leur affichage d'émotion crue et tout repos - au plaisir des médias assemblés - ont complètement perdu l'intérêt pour leurs appui verticaux. L'homme dans le noir est laissé à la lutte unaided avec le fardeau, dirigeant la terre approximative et épave-répandue finie à l'ambulance. Ceci peut être vu dans la distance au-dessus de son épaule gauche, après le plus proche, moderne-regardant le véhicule. « La Pièce en t-chemise blanche » comme continuée en avant, sans n'offrir aucune aide et, bien que dans l'image, ne regarde pas le gurney. Il a autre, plus de choses de pression sur son esprit, car nous verrons sous peu.

De tout son ennui, le « homme dans le noir » est au moins récompensé - il obtient de poser avec un des corps jetés par tient le premier rôle. Une figure noble se tenant au fond de l'ambulance, la figure minuscule dans des ses bras, il y a une certaines majesté et pesanteur à l'homme. Néanmoins, il manque clairement de la qualité de tenir le premier rôle, la capacité de projeter l'émotion crue, une insuffisance qui le condamnera pour toujours à s'occuper des appui verticaux après qu'ils aient été jetés et jouant le peu les pièces après que tienne le premier rôle sont parties de la scène.

Même puis, un de tient le premier rôle ne pourrait pas résister à une exécution de répétition. C'était travail évidemment chaud fonctionnant à travers la colline, et le support encore, ainsi outre de vient le casque de marque déposée, la radio, la veste de flack et le gilet fluorescent. Le naturelle d'Au « de casque vert » pose maintenant une fois de plus avec son appui vertical. Mais il passe seulement par les mouvements quand il vient à projeter des émotions une fois de plus et il manque de la conviction. Mais hé ! Les pages avant sont déjà dans le sac, ainsi c'est juste un pour le livre de chute.

Et enfin le corps des pauvres acarides qui étaient par le passé un joli enfant est repos étendu temporairement dans le dos de l'ambulance. Même puis, ses restes mortels sont fourrage de publicité, fournissant un rappel intense de la tragédie, sans artifice des poses. C'est la seule pose normale dans l'ordre entier, mais il manque du drame le besoin de rédacteurs. L'image finit vers le haut comme remplisseur pour des archives d'Internet.

Tandis que le repos mort enfin, nous voient maintenant pourquoi « la Pièce en t-chemise blanche » était si impatiente de partir. Il doit retourner à la maison pour être interviewé par un journaliste de la France 2. Il commence par montrer le journaliste autour de la maison, puits meublé et loin de modeste. Ce n'est aucun homme pauvreté-frappé, rendu amer par la privation. Même par des normes européennes ou américaines, la maison est bien-meublée et confortable.

Mais ce qui est si évidentes sont les images de cheik Hassan Nasrallah - même un calendrier. Ce n'est pas un logement - c'est un tombeau à Hezbollah, le partie de Dieu. Mais « la Pièce en t-chemise blanche » n'est pas Hezbollah, OH, non ! Est ce ce qu'il dit au jeune journaliste, dire que c'est l'agression israélienne qui radicalise des musulmans et les conduit dans les bras de Hezbollah.

Composer votre propre esprit. Est-ce que ce Hezbollah est membre, ou un seul défenseur ? C'est un bastion de Hezbollah, une ville dont la réclamation de film encreur plus de 150 missiles ont été mises le feu. Et notre « Pièce en t-chemise blanche » a une maison complètement de matériel de Hezbollah et un membre - n'était pas ne conduit pas toute la journée cet ordre du jour en avant ? Était-il simplement un ordinaire Joe, surmonté avec l'émotion à la mort et la destruction autour de lui, dont il était entièrement innocent ?

Ces questions ne sont pas naturellement adressées par les médias, sur la terre ou le dos dans les bureaux éditoriaux confortables et climatisés, milliers de milles de l'action. Là, les images de la mort sont un produit. Il n'importe pas dans quelles circonstances elles ont été gagnées, et à quelles but les acteurs ont défilé leurs émotions. Une autre forêt-charge des arbres morts a donné l'histoire et quelques enfants morts ont été exploités pour fournir des images et pour ajouter le drame.

Contre le tout cela, importe-t-il que nous ayons été vendus un mensonge ? Ironiquement - et involontairement - le titre indépendant articule la question : « Comment pouvons-nous nous tenir prêt et permettre à ceci d'aller sur » ? Mais je suspecte qu'ils n'aient pas pensé ce que nous pensons.
 
 
 

L'article original en Anglais :

  http://eureferendum.blogspot.com/2006/08/qana-directors-cut.html.

 

Qana - the director's cut

I have called this post, "the director's cut", as that is what it is. The narrative here is of how the combination of Hezbollah's media management and modern photo-journalism has turned the recording of a tragic event into theatre, in the best tradition of Michael Moore.

As best we can, we have pieced together the jumble of evidence which surrounded the production of the iconic photographs which were published around the world, and put them in perspective. Many of the photographs have been used before, some are new to this site and others are video "grabs". But it is not the pictures, per se, that tell the story, so much as their ordering and analysis. Make of this what you will, but I can assure you that you are not supposed to see them in this light.

The "story" - for that is what it is - starts here, in the wreckage of the buiding at Qana which is performing the temporary and unwholesome function of a morgue. It is from here, that the bodies are extracted, the essential props of this theatre. And standing on the left of the frame is one of the two star characters of our story, Mr "White Tee-Shirt". With equal accuracy, though, we could call him Mr Hezbollah, for reasons which will become apparent.

Mr "White Tee-shirt" is billed variously as a "rescuer" and "local resident". We see him in many pictures, very much at the centre of events. He has free, unchallenged access to the collapsed building, even though he is not in uniform and has no apparent formal role. But, although we see a lot of him, there is not a single picture of him digging or moving rubble. More often, he is standing around watching, like he is doing here. But for what?

Well, here he is again, this time inside the wreckage and again he is not actually doing anything but watching. But it seems he is doing more than that. We get the distinct impression he is looking for particular bodies. The one in the arms of the Red Cross worker, the body of the "girl in orange" is not one of them. Mr "White Tee-shirt takes no interest in it and shows no emotion.

And it is in this frame that we see the teeshirt (inset) which seems to have writing on the chest. An expert has contacted us and agrees, telling us that it seems to have been electronically blurred to obscure the message it conveys.

Anyhow, it is now clear that the body of the "girl in orange" is not what is wanted. It is unceremoniously dumped outside, and is later stretchered off to the waiting fleet of ambulances. This is what happens to most of the bodies, which are carried up "stretcher alley" by diverse parties of stretcher bearers through the day. As with other casualties, the wrapping is conveniently left open to allow photographers to take pictures as the stretcher passes.

However, there then seems to be something of a commotion. Not one but two bodies of girls have been found. From this Newsnight video grab we see them being manhandled out to the opening of the wrecked building. At this stage, the bodies are not treated with any care or dignity as they are handed to "White Tee-shirt". But it seems evident that he has found what he wanted. And, although, on film he speaks loudly and gesticulates, there is no display of anything that could be interpreted as emotion.

Now, entering stage-right is the second of our star characters, "Green Helmet". Without any ado, he makes a grab for the first of the girl's bodies, which is surrendered by a deferant "White Tee-shirt". In the next frame (not shown) Mr "Green Helmet" cradles the body in his arms, as if to carry it. And here we also see that "White Tee-shirt" seems to have changed his top, his new garment sporting a small logo on the chest (although we now know, courtesy of The Daily Telegraph that this is not the case).

Anyhow, in the next frame, we begin to see the game plan. "Green Helmet" is making a "camera run", carrying the highly photogenic corpse of a little girl, holding it is arms to maximise the shock value and the emotional impact. At this stage, though, he is walking up to "Stretcher Alley" and is reserving his expression. This is sombre but not demonstrably dramatic. Several "snappers" go through the motions and take his picture but the results are little used.

In this frame, though, "Green Helmet" is going up "Stretcher Alley" in full view of the waiting media. Framed against the rubble, with the girl's body in his arms, he displays an intensity of emotion that we have not seen in him before. The combination makes for the iconic shot which is published throughout the world and, ironically, is now available printed on a white tee-shirt.

Out of shot, the route is marked out by Red Cross workers and others, redolent of mashalls on a race route. It has the feel of a highly organised film set, which is precisely what it is. And, in this frame, "Green Helmet" co-ops one worker into the theatre to provide the media with another photo opportunity. Whatever the message though, it is not real. The uniformed worker is merely a prop. "Green Helmet" does not need guidance - he has been up and down this route ceaselessly.

The corpse having served it purpose, "Green Helmet" has no further use for it. He dumps it on a guerney, leaving it in the care of the worker we have called "the man in black". There are other photo-opportunities in the making and, to "Green Helmet", these are his priority. He is off, without even waiting to see the corpse properly secured.

While "Green Helmet" and "White Tee-shirt" could have left together (the corpses were available together at the wreckage), and even carried the two corpses on a single stretcher, properly covered in respect for the dead. But that was never the game plan. With "Green Helmet" having done his camera run, it is now the turn of his partner to show off the trophies. We see him striding out carrying his photogenic corpse, surrounded by snappers and TV cameramen, who are obviously ready and waiting for him.

This and the previous shot, taken as "screen grabs" from a France 2 news broadcast, are hardly iconic material. But, as he approaches the media scrum, "White Tee-shirt" is assuming an anguished expression which intensifies with every stride. His mouth opens and he starts to shout passionately, as he steps onwards, his swiftening stride conveying a sense of urgency. Yet, the urgency is false. He has waited for "Green Helmet" to complete his run before even starting out.

Well into his stride now and emoting freely, "White Tee-shirt is producing iconic material, eagerly captured by the snappers. This picture here makes the Daily Telegraph and many other dailies. Again, the combination of the photgenic corpse and the "raw emotion" make the picture irresistable. It is a stunning performance, even if the result lacks the essential touch of the background wreckage.

Now the strategy becomes clear. Round the corner and on top of the rise formed by "Stretcher Alley" is the "fiercely competitive" media, coralled like sheep in a pen, waiting for the next photo-opportunity to be presented to them. And Hezbollah is about to lay on the performance of a lifetime, a human interest story starring "Green Helmet and "White Tee-shirt" in a bravura display of raw emotion.

First of all, here comes "White Tee-shirt" for a solo performance. But, while the snappers do their business, he hasn't quite got it. The stride is too purposeful. He looks soulful but his head hangs and there is no passion or drama in the pose. The rubble is bit too messy and amorphous and there is nothing to draw the eye to add contrast to the sole figure marching up the litter-strewn slope. As a picture, this simply doesn't hack it.

By now, "Green Helmet" has got in position for a dual shot, although from this angle you can only just see the crown of his helmet over "Tee-shirt's" left shoulder. Even then, the pose is magnificant - head thrown back in anguish, the corpse cluched to the bosom and a soulful expression all combine to give just the note that is needed. Many editors find this is just right and rush to print it.

Perhaps in the this one, "White Tee-shirt is overdoing it slightly, but it isn't a lot different from the previous frame. What really spoils it is "Green Helmet" peering round "Tee-shirt's" shoulder, as he strides along to catch up with is co-star in order to take an equal role in the drama. But his presence at such an awkward angle breaks up the symmetary of the pose and creates a distraction. Nevertheless, Nicolas Asfouri for AFP-Getty Images labels the pic, "A man screams for help as he carries the body of a girl killed in the Israeli strike on Qana on July 30", and it gets used by Newsweek, amongst others.

As a dual shot, this next one is unusable. Look closely at "Green Helmet" and - although he most certainly isn't - he appears to be smirking. The combination of the exertion and trying to present the appropriate gravitas is proving too much for the man. But, if the effect is grotesque, "Tee-shirt" is strutting his stuff. So out come the scissors (or the crop button) and "Green Helmet" is history. The result is perfect for the front page of The Independent.

But everything is coming right. Without moving from their positions, all the snappers have to do is let the stars come to them. Now the angles are right, the pair complement each other and the expressions are spot on. With an imaginative caption "man screaming for help...", it goes straight on the front page of The Guardian. This is award-winning stuff, except the prize should really go to Hezbollah.

With the pics in the bag, the corpse is so much dead weight. "Tee-shirt" dumps it on the gurney, leaving it to the good offices of "the man in black" to strap it in and organise the load. Nevertheless, it provides a poignant photo-opportunity and the snappers do not miss out. The trouble is that the shadows are wrong and the face of "Green Helmet's" corpse, the one he was in such a hurry to deliver, is partially obsured. This does not really score as a top-rate picture.

Neither is the next, but as a picture, it is worth a thousand words. The starring duo, having got what they wanted from the corpses, putting on their display of raw emotion and all the rest - to the delight of the assembled media - have completely lost interest in their props. The man in black is left to struggle unaided with the burden, heading over rough, wreckage-strewn ground to the ambulance. This can be seen in the distance over his left shoulder, past the nearer, more modern-looking vehicle. "White Tee-shirt" as gone on ahead, without offering any aid and, although in the picture, is not looking at the gurney. He has other, more pressing things on his mind, as we will see shortly.

For all his trouble, the "man in black" is at least rewarded - he gets to pose with one of the bodies discarded by the stars. A noble figure standing at the back of the ambulance, the tiny figure in his arms, there is a certain majesty and gravity to the man. Nevertheless, he clearly lacks the star quality, the ability to project raw emotion, a deficiency that will forever condemn him to looking after the props after they have been discarded and playing the bit parts after the stars have left the scene.

Even then, one of the stars could not resist a repeat performance. It was obviously hot work running up and down the hill, and back up again, so off comes the trade-mark helmet, the radio, the flack jacket and the fluorescent waistcoat. "Green Helmet" au naturelle now poses once more with his prop. But he is only going through the motions when it comes to projecting emotions once more and he lacks conviction. But hey! The front pages are already in the bag, so this is just one for the scrap book.

And at last the body of the poor mite that was once a pretty child is laid rest temporarily in the back of the ambulance. Even then, her mortal remains are publicity fodder, providing a poignant reminder of the tragedy, without the artifice of poses. This is the only natural pose in the whole sequence, but it lacks the drama the editors need. The picture ends up as a filler for internet archives.

While the dead rest at last, we now see why "White Tee-shirt" was so anxious to get away. He has to return home to be interviewed by a France 2 reporter. He starts by showing the reporter round the house, well furnished and far from modest. This is no poverty-stricken man, embittered by deprivation. Even by European or American standards, the house is well-furnished and comfortable.

But what is so evident are the pictures of Sheik Hassan Nasrallah - even a calendar. This is not a dwelling - it is a shrine to Hezbollah, the party of God. But "White Tee-shirt" is not Hezbollah, oh, no! That is what he tells the young reporter, saying that it is the Israeli aggression that is radicalising Muslims and driving them into the arms of Hezbollah.

Make up your own mind. Is this a Hezbollah member, or a mere supporter? This is a Hezbollah stronghold, a town from which the IDF claim over 150 missiles have been fired. And our "White Tee-shirt" has a house full of Hezbollah material and is not a member - was not all day driving that agenda forward? Was he simply an ordinary joe, overcome with emotion at the death and destruction around him, of which he was entirely innocent?

These issues are, of course, not addressed by the media, either on the ground or back in the comfortable, air conditioned editorial offices, thousands of miles from the action. There, pictures of death are a commodity. It doesn't matter under what circumstances they were gained, and to what purpose the actors paraded their emotions. Another forest-load of dead trees conveyed the story and a few dead children were exploited to provide pictures and add drama.

Against all that, does it matter that we were sold a lie? Ironically - and unintentionally - The Independent headline articulates the question: "How can we stand by and allow this to go on"? But I suspect they were not thinking what we are thinking.

 

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9 août 2006 3 09 /08 /août /2006 12:30

Metula, mercredi 9 août, 12h 17 locales

Une roquette 302 de fabrication syrienne, de type Fager 5, émulation des Grad soviétiques s’est abattue sur la région de Haïfa. Elle n’a fait aucune victime.

Il s’agit d’un projectile, déjà tiré par le Hezbollah sur Hadera, Afoula et Givat Olga, contenant une centaine de kilos d’explosif et pouvant atteindre jusqu’à 110 kilomètres.

Depuis ce matin, la zone de Kiriat Shmona a essuyé 9 Katiouchas et 10 obus de mortier. Il n’y a pas non plus de victimes.

Il règne toujours une intense activité militaire autour de Metula, incluant l’usage d’armes automatiques.

Le cabinet est déjà réuni depuis 2h 30 afin d’entendre les rapports détaillés de l’état-major avant de prendre la décision d’autoriser l’assaut. Celui-ci est inévitable mais les ministres désirent être parfaitement renseignés avant de prendre leur responsabilité.

Chutes de roquettes en ce moment sur le Doigt de la Galilée.

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9 août 2006 3 09 /08 /août /2006 12:18

 

L'article a été traduit en Français par un logiciel :

 

Dans la traduction

en lisant "Film encreur"

il faudra comprendre : Les  Forces de Défense d'Israël

 

 

Limitations sur le voyage au Liban méridional

Mercredi 9/8 /2006 08:02

 

 
 
   

Aux membres de la Foreign Press,

Israël Defenses Forces a annoncé une limitation sur le voyage dans n'importe quel genre de véhicule dans tous les sud de secteurs du fleuve de Litani au Liban.

La limitation est entrée en vigueur chez 22:00 le 7 août 2006, et demeurera en effet jusqu'à nouvel ordre.

L'information concernant les limitations a été communiquée à la population au Liban méridional par l'intermédiaire des sorties et des feuillets de médias aussi bien que les canaux locaux traversants.

Le passage des convois humanitaires continue dans tous tout le Liban dans la coordination avec Israël Defenses Forces .

Nous voudrions soumettre à une contrainte que ces limitations s'appliquent aux journalistes aussi bien.

Veuillez comprendre que c'est une zone de combat à partir dont les terroristes opèrent, et comme telles, nous ne peuvent pas garantir la sûreté des journalistes dans le secteur.

En fait, nous avons demandé à des civils dans le secteur de partir pour leur propre sûreté.

Israël Defenses Forces fera de son mieux pour garder des civils, et des journalistes parmi eux, hors de la manière du mal.

Cependant, nous sommes obligés de vous rappeler que les journalistes agissent à leur propre risque et sont priés de se conformer aux recommandations fournies à la population civile.

Nous vous invitons également à observer le conseil des conseillers consulaires de votre propre pays quant à la sûreté pendant le conflit.

 

L'article original en Anglais :

 

Limitations on travel in southern Lebanon
Wednesday 09/08/2006 08:02
   

To members of the foreign press,

The IDF has announced a limitation on travel in any kind of vehicle in all areas south of the Litani River in Lebanon. The limitation took effect at 22:00 on August 7, 2006, and will remain in effect until further notice.

Information regarding the limitations was communicated to the population in southern Lebanon via media outlets and leaflets as well as through local channels.

Passage of humanitarian convoys continues throughout all of Lebanon in coordination with the IDF.

We would like to stress that these limitations apply to journalists as well.

Please understand that this is a combat zone from which terrorists operate, and as such, we cannot guarantee the safety of journalists in the area.

In fact, we have asked civilians in the area to leave for their own safety.

The IDF will do its utmost to keep civilians, and journalists among them, out of harm's way.

However, we are obligated to remind you that journalists are acting at their own risk and are requested to comply with the recommendations provided to the civilian population.

We urge you also to heed the advice of your own country's consular advisors as to safety during the conflict.

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9 août 2006 3 09 /08 /août /2006 11:58

il faudra comprendre : Les  Forces de Défense d'Israël

 

 

Deux soldats tués dans Bint Jbeil

20 terroristes de Hezbollah pendant l'opération

 

Deux soldats de film encreur ont été tués hier pendant une opération de film encreur dans le village de Bint Jbeil, dans le secteur occidental du Liban méridional. 

Fournir le sergent de personnel Oren Lifshitz, 21, de Gazit et le sergent Moran Cohen, aussi 21 de personnel, d'Ashdot Yacov, a perdu leurs vies défendant leur pays.

Pendant son opération dans le village la force de film encreur a localisé des sièges sociaux de l'organisation de terreur de Hezbollah et lance des efforts d'établir le contrôle de elle. 

Un échange de tirs a éclaté entre la force et les terroristes de Hezbollah dans le secteur, pendant lequel un soldat de film encreur était sérieusement blessé. 

Les terroristes de Hezbollah ont continué à mettre le feu sur la force de film encreur qui est arrivée pour évacuer le soldat blessé, et ont tué un soldat, blessant des autres légèrement. 

Pendant l'opération d'extraction, qui a été aidée par les forces d'armure et d'infanterie et l'Armée de l'Air dans un affichage vrai du courage sous le feu, le soldat qui avait été mal blessé mort de ses blessures.
 
Les forces de film encreur ont éliminé au moins 20 terroristes de Hezbollah pendant l'opération

L'article original en Anglais :

 

Killed in Bint Jbeil
 

Two IDF soldiers were killed yesterday during an IDF operation in the village of Bint Jbeil, in the western sector of southern Lebanon.  Staff Sergeant Oren Lifshitz, 21, of Gazit and Staff Sergeant Moran Cohen, also 21, of Ashdot Yacov, lost their lives defending their country.

During its operation in the village the IDF force located a headquarters of the Hezbollah terror organization and initiated efforts to establish control over it.  A firefight broke out between the force and Hezbollah terrorists in the area, during which an IDF soldier was seriously wounded.  The Hezbollah terrorists continued to fire on the IDF force that arrived to evacuate the wounded soldier, and killed one soldier, wounding another lightly.  During the extraction operation, which was assisted by armor and infantry forces and the Air Force in a true display of courage under fire, the soldier who had been badly hurt died of his wounds.
 
IDF forces eliminated at least 20 Hezbollah terrorists during the operation.

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9 août 2006 3 09 /08 /août /2006 11:31

L'article a été traduit en Français par un logiciel :

 

Dans la traduction

en lisant "Film encreur"

il faudra comprendre : Les  Forces de Défense d'Israël

 

L'opération élimine 30 terroristes

Mercredi 9/8 /2006

Forces de film encreur au Liban. Photo d'archives : Porte-parole de film encreur
 

En fonctionnement qui ont commencé durant la nuit dans les villages libanais méridionaux de Bint Jbeil, de Ramya, d'Itrun, et d'Al-Mantzuri d'Ayara, les forces de film encreur ont éliminé au-dessus de 30 terroristes de Hezbollah, parmi eux quatre membres d'une cellule antichar de missile. 

La force a arrêté trois terroristes dans le village de Shihin et de deux davantage dans Bint Jbeil.

Pendant l'opération les forces ont trouvé et ont détruit huit lance-missiles et une salle de guerre de Hezbollah en Al-Mantzuri d'Ayara, et un nord différent de lance-missiles du village de Maron A-Ras.
 
En outre, la réservation de film encreur force le fonctionnement près d'Ayara Bayde, aussi dans le secteur occidental du Liban méridional, a détruit les armes portantes d'un camion comprenant un lance-missiles.

Sans compter que le combat, au centre du film encreur pour la coordination de l'aide humanitaire au Liban traité quatre vols des hélicoptères de Beyrouth vers la Chypre afin des civils de évacuation et apporter les approvisionnements, l'atterrissage de l'avion six à l'aéroport de Beyrouth, l'amarrage de deux bateaux, et le mouvement de 21 convois d'aide à travers le Liban - la plupart d'entre eux l'ONU ou croix rouge

 

L'article original en Anglais :

 

Operation Eliminates 30 Terrorists
Wednesday 09/08/2006 09:56
IDF Forces in Lebanon. Archive Photo: IDF Spokesperson
 

In operations that began overnight in the southern Lebanese villages of Bint Jbeil, Ramya, Itrun, and Ayara Al-Mantzuri, IDF forces eliminated in excess of 30 Hezbollah terrorists, among them four members of an anti-tank missile cell.  The force arrested three terrorists in the village of Shihin and two more in Bint Jbeil.

During the operation forces found and destroyed eight missile launchers and a Hezbollah war room in Ayara Al-Mantzuri, and another missile launcher north of the village of Maron A-Ras.
 
In addition, IDF reserve forces operating near Ayara Bayde, also in the western sector of southern Lebanon, destroyed a truck carrying weapons including a missile launcher.

Besides the fighting, at the IDF's center for coordination of humanitarian aid in Lebanon dealt with four flights of helicopters from Beirut to Cyprus for the purpose of evacuating civilians and bringing in supplies, the landing of six aircraft at Beirut's airport, the docking of two ships, and the movement of 21 aid convoys across Lebanon - most of them UN or Red Cross.

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9 août 2006 3 09 /08 /août /2006 11:30

 

TARTUFERIES EUROPÉENNES
 

Par Albert Soued, www.chez.com/conf.hm , pour www.nuitdorient.com

 

 

 

Le saviez-vous ? La plupart des insultes en Israël sont en arabe, non pas pour se faire comprendre du voisin, mais parce que l'hébreu moderne est en partie formé d'emprunts à des langues étrangères.

Mais les insultes n'entraînent pas forcément la violence. La preuve en est, celles qui sont débitées à longueur de journaux arabes ou de sermons dans les mosquées, de Tripoli à Abou Dhabi, en passant par le Caire ou Gaza.

Les prêcheurs islamiques ou islamistes ne manquent une occasion pour rappeler le Coran et traiter Juifs et Chrétiens de singes et de porcs. Encore ne sont-elles là que les insultes les plus banales.

 

Non, ce n'est pas pour cause d'insultes que Tsahal se retrouve à nouveau en territoire arabe, à Gaza et au Liban, dans des terres desquelles il s'était désengagé depuis un certain temps.

 Il s'agit ici d'actes de guerre caractérisés, introduction de groupes armés en territoire israélien, attaques armées, assassinats et captures de soldats.

 

Un pays quasi assiégé depuis bientôt 60 ans ne peut pas se permettre un seul instant une entorse à sa souveraineté territoriale, sans répliquer avec force et détermination.

 

 

 

Des voix frôlant la tartuferie s'élèvent de l'Onu et de l'Europe pour dénoncer la "non-proportionnalité" des ripostes israéliennes.

Sommes nous dans un concours d'escrime, ou dans un match de football médiatisé ou truqué ?

Quand un ennemi clame depuis des années dans toutes ses interventions publiques qu'il n'a qu'un seul but, celui de vous éliminer de la surface de la terre, et qu'il passe à l'acte, que faire? Comme il s'agit d'un appel au génocide allant au delà de l'insulte, pour survivre, il faut gagner.

Toute ces bonnes âmes conseillères, à la compassion hypocrite, à l'antisémitisme latent et au passé lourd à porter s'érigent tout d'un coup en arbitres non appelés, pour définir la "bonne riposte" dans le conflit arabo-israélien au Moyen Orient.

 

 

Non! Toutes ces bonnes âmes conseillères n'ont pas levé le petit doigt pour faire appliquer ne serait-ce que la résolution 1559 de l'Onu, demandant au Hezbollah, milice shiite, véritable Etat dans l'Etat, de désarmer, et son remplacement par l'armée régulière libanaise. Ont-elles réagi aux tirs quotidiens de missiles Qassam sur les villes israéliennes du Négev ?

Qu'on m'explique qui est plus avantagé dans le combat, celui qui a été élevé dans la haine de l'autre, formé au salut nazi (1), endoctriné au suicide et au Paradis des vierges ou celui qui est élevé dans le respect de la vie? Qui a l'avantage, celui qui tire des missiles, planqué dans des zones habitées, celui qui se sert de ses congénères comme bouclier de défense ou celui qui informe les populations civiles avant d'attaquer une zone ? Dans cette subversion terroriste qui dure depuis des décennies sans répit et qui n'a qu'un seul but celui de l'élimination de l'autre, il est indécent de parler de proportionnalité !

 

D'autant plus que d'après nous, c'est l'Onu (2), à travers sa filiale l'Unrwa (3), et l'Europe qui sont à l'origine du conflit israélo-arabe et de sa pérennité. C'est d'abord l'Angleterre qui a favorisé les Arabes contre les Juifs, sous le mandat qu'elle avait en Palestine pendant 3 décennies: en 1948, à la fin de ce mandat, il ne restait plus rien de l'esprit de la déclaration Balfour de 1917, quand un général anglais commandant la légion jordanienne envahissait le nouvel état Juif (4).

Puis ce fut l'invention de l'Unrwa, organisme créé en 1950 pour "6 mois" pour aider les réfugiés arabes de Palestine et qui perdure encore, origine de la cause principale du conflit. Puis ce fut le tour de l'Urss, déçue qu'Israël ne fut pas un état satellite, qui a misé alors sur Nasser qui a provoqué la guerre des six jours en 1967, suivie par une revanche ratée en 1973. Puis ce fut la France suivie de l'Europe qui, par leur politique arabe biaisée, ont provoqué l'ère onusienne du "sionisme = racisme" et les horreurs de Durban. Par leur soutien inconditionnel à Arafat et aux groupes terroristes, ils ont encouragé les intifadas successives et incité à la guerre en cours.

 

 

En effet Israël n'est pas l'ami des Européens malgré les accolades "à la Tartufe" de leurs dirigeants à Shimon Peres. Celui-ci est tombé de haut quand il a appris qu'Israël n'était pas convié à la réunion de Rome pour un cessez le feu, alors que le Liban, partie au conflit, était présent. M. Douste Blazy explique que c'était une réunion d'"amis du Liban".

Encore une double tartuferie qui considère le Liban comme une victime d'Israël et qui feint de croire que le Hezbollah est en dehors du Liban?

 

Notes 
 

(1)Voir notamment les articles www.nuitdorient.com/n22a56.htm , www.nuitdorient.com/n22a58.htm , www.nuitdorient.com/n22a511.htm ,

www.nuitdorient.com/n22a62.htm ?

(2) L'Onu a fait un grand tapage médiatique autour de la destruction d'un de ses bâtiments et la mort de 4 casques bleus au Liban Sud.

Or il est évident depuis longtemps que les "casques bleus" au Liban du Sud ne sont pas neutres et certains autorisent le Hezbollah à tirer des missiles à partir de leurs installations. Heureusement qu'on trouve des gens non atteints par la "tartuferie", comme le commandant Pellegrini qui a déclaré qu'Israël "nettoyait" la zone en question et que l'Onu ne faisait pas "exception"

(3) voir nos articles www.nuitdorient.com/n151.htm , www.nuitdorient.com/n154.htm , www.nuitdorient.com/n1510.htm

(4) Glubb Pacha, converti à l'Islam

 

 

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9 août 2006 3 09 /08 /août /2006 11:12

 

L'article a été traduit en Français par un logiciel :

 

Dans la traduction

en lisant "Film encreur"

il faudra comprendre : Les  Forces de Défense d'Israël

 

Deux soldats de réservation tués au Liban méridional
Capitaine Gilad Balhasan
 

Deux soldats de réservation de film encreur ont été tués la nuit passée (les lundi 7/8/6) pendant les échanges du feu qui se sont produits dans le secteur de Levona, dans le secteur occidental du Liban méridional.

Deux soldats additionnels de réservation ont été blessés dans une telle éventualité. Blessés ont été évacués pour recevoir le traitement médical à un hôpital en Israel ; un message a été envoyé aux familles.

Le nom d'un des soldats tués de réservation est maintenant libéré pour la publication :


Capitaine (recherche.) Gilad Balhasan, 28 années de Karmiel.
On a annoncé sa famille.

Le soldat a sévèrement enroulé près de Bint Jbeil

Dans un autre incident qui s'est produit ce matin (les mardi 8/8/6), un soldat de film encreur a été sévèrement blessé pendant les échanges du feu qui ont procédé dans le secteur de Bint Jbeil, dans le secteur occidental du Liban méridional. Le soldat a été évacué de l'emplacement pour recevoir le traitement médical à un hôpital et sa famille a été annoncée.

Mise à mort de forces de film encreur plus de 25 terroristes

Puisque les forces de film encreur de la nuit passée ont tué plus de 25 terroristes d'organisation de Hezbollah dans le secteur occidental du Liban méridional.

Le film encreur continuera à fonctionner dans la détermination afin de protéger les citoyens de l'Israel contre la terreur émanant du territoire libanais et créer des conditions menant au retour sûr des soldats, de l'Eldad Regev et de l'Ehud enlevés Goldwasser.

 

 

L'article original en Anglais :

 

  

Two Reserve Soldiers Killed in Southern Lebanon
 

Two IDF reserve soldiers were killed last night (Monday 07/08/06) during exchanges of fire that occurred in the area of Levona, in the western sector of southern Lebanon. Two additional reserve soldiers were injured in this event. The injured were evacuated to receive medical treatment at a hospital in Israel; a message was sent to the families.

The name of one of the killed reserve soldiers is now released for publication:
Captain (res.) Gilad Balhasin, 28 years old from Karmiel.
His family was notified.

Soldier severely wounded close to Bint Jbeil

In another incident that occurred this morning (Tuesday 08/08/06), an IDF soldier was severely injured during exchanges of fire that proceeded in the area of Bint Jbeil, in the western sector of southern Lebanon. The soldier was evacuated from the site to receive medical treatment at a hospital and his family was notified.

IDF forces kill over 25 terrorists

Since last night IDF forces have killed over 25 Hezbollah organization terrorists in the western sector of southern Lebanon.

The IDF will continue to operate with determination in order to protect the citizens of Israel from terror emanating from Lebanese territory and to create conditions leading to the safe return of the kidnapped soldiers, Eldad Regev and Ehud Goldwasser

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9 août 2006 3 09 /08 /août /2006 10:59

 A l’heure où nous publions cette dépêche, des blindés, par centaines, franchissent la frontière libanaise

 

Metula, mercredi 9 août, 11h 05 locales

14 soldats israéliens ont été blessés, à des degrés divers, lors des combats de cette nuit et de ce matin au Liban.

Le bilan des victimes israéliennes, civiles et militaires incluses, s’élève aujourd’hui à 101 morts.

L’armée se trouve toujours en position d’attente de l’ordre officiel d’assaut pour son déploiement le long du Litani. Décision qui est discutée actuellement lors d’une réunion extraordinaire du conseil des ministres à Jérusalem.

Metula, mardi 8 août, 23h 43 locales

C’est la guerre totale dans la plaine du Merjin, entre Metula et la ville chrétienne de Marjayioun, au Liban, à une dizaine de kilomètres de notre terrasse. Le tout sur une largeur de 13-14 kilomètres, entre deux chaînes de montagnes de 400 mètres de haut..


Tout y est : artillerie, colonnes de chars, drones, armes automatiques, aviation… Des balles traçantes de mitrailleuse, rouges, tirées par un blindé, posté à une maison de la nôtre, strient un superbe ciel de pleine lune. En dépit de toute son atrocité, le spectacle est grisant, je mentirais à tenter de prétendre le contraire ; il dépasse largement l’attaque des hélicos sur l’air de Wagner dans Apocalypse now.

J’en suis presque à comprendre pourquoi la guerre rend, de tous temps, les hommes fous. Nous avons été téléportés dans une autre dimension, dans laquelle nos maisons, nos objets familiers et nos personnes n’ont plus de valeur. Le monde, le leur, semble osciller au bout d’un fil, alors que la terre explose… se révolte.

Tout ce qui peut tirer tire. Il y a dix bruits de dix armes différentes qui composent un concert délirant. Une symphonie philharmonique avec un orchestre infini installé sur cent kilomètres carrés. Et, comme la grosse caisse, le long de la montagne, les pachydermes qui progressent irrésistiblement sur leurs chenilles. Et disparaissent, avalés par le Liban, au fond de la vallée, comme en plein jour.

Il ne se passe pas une seconde sans qu’un quelque chose de gros ne crache le feu de cent dragons.



Metula, mardi 8 août, 21h 33 locales

Le chef d’état-major Dan Khaloutz a décidé de nommer à la tête du front nord – le commandement en charge de la guerre au Liban – son adjoint, le général Moshé Kaplinsky, en lieu et place du général Oudi Adam.

Adam n’a pas été démissionné, cela ne se fait pas à Tsahal, mais il a dû transférer son autorité à Kaplinsky. Oudi Adam est un homme intègre, un gentleman, dont le père, officier de haut rang lui aussi, fut tué en campagne au Liban.

Ceci dit, Oudi Adam est un médiocre stratège et un piètre meneur d’hommes, qui n’avait pas les capacités professionnelles pour assumer le commandement du front nord. A la Ména cela fait longtemps que nous le savons, mais nous ne voulions pas donner notre avis négatif sur le responsable d’une armée en campagne.

Avouons maintenant que certaines des déclarations de Oudi Adam avaient fait sursauter d'incompréhension et de colère les experts en stratégie de la Ména.

Kaplinsky est un "vieux de la vieille", vétéran des guerres du Liban, connaissant le pays des cèdres et ses pièges comme sa poche. Il remplace Adam à la veille de l’offensive – quasi inévitable – de Tsahal vers le Nord. A l’heure où nous publions cette dépêche, des blindés, par centaines, franchissent la frontière libanaise, et la chaussée tremble sous l’ébranlement de leurs chenilles.

Dans notre agence, et puisque le débat qui couvait a atteint la place publique, nous sommes d’avis que le chef d’état-major aurait dû commencer par s’auto-congédier. Sa capacité de gestion du conflit est lamentable.

Fort heureusement, la qualité des soldats israéliens, sur le terrain, est impressionnante. Selon Ilan Tsadik ainsi que d’autres sources sur le théâtre des opérations, leur professionnalisme, leur capacité à gérer leurs moyens et leur motivation sont les plus élevés de toutes les guerres d’Israël.

Il reste à regretter que l’état-major ne soit pas au niveau de ses soldats, et que ceux-ci doivent constamment faire appel à leur supériorité qualitative et humaine plutôt qu’à une organisation et une vision du champ de bataille médiocre de la part de leurs chefs.

Ces considérations authentiques n’empêcheront pas l’armée d’Israël de remporter une victoire totale sur le terrain, au vu des raisons exprimées plus haut. Seulement, cela coûtera plus cher en vies humaines et en temps qu’avec un état-major à la hauteur.

Au sein de l’armée et du gouvernement, on parle presque ouvertement de commissions d’enquêtes et de limogeages pour après l’issue de ce conflit.. Dans les jours à venir, Kaplinsky remplacera les lieutenants de Adam par des hommes de son choix. Et Khaloutz ne fera pas de vieux os à la tête de l’armée.

Le Hezbollah lance de nombreuses salves de Katiouchas et des obus de mortier afin de ralentir l’entrée des chars mais sans aucun effet pour le moment.



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