Le conflit au Proche-Orient fait sortir de leur tanière les fous d'Allah et leurs idiots utiles. On voit même le Mrap, né pendant la seconde guerre mondiale pour combattre le nazisme, s'afficher dans les rues avec ce qu'il convient d'appeler des néo-nazis.
Car le Hezbollah soutenu et armé par le régime islamiste d'Iran, tout comme le Hamas palestinien qui lui aussi a de nombreux adeptes en France, est bien une organisation raciste, antisémite, jihadiste, totalitaire et terroriste, puisant son idéologie de haine dans les bas-fonds du Coran et de l'islam.
Comment peut-on tolérer sur notre sol que défilent ces « Hezbollah Jugend » en toute impunité ? Veut-on qu'ils incendient des synagogues, qu'ils attisent la chasse aux Juifs déjà bien présente dans nos zones de non-droit ? Que fait le gouvernement pour mettre hors d'état de nuire ces fascistes verts-rouge-brun, soutenus par des communistes et des gauchistes qui s'autoproclament, audace suprême, « antiracistes » et « pacifistes » ?
Quand finira cette comédie ?
Et ce n'est pas qu'à Paris que ces salauds nous rappellent les heures les plus sombres de notre histoire. Dans plusieurs villes de France, les défilés « pour la paix au Proche-Orient » (sic) ont donné lieu aux mêmes scènes surréalistes de haine antijuive, de drapeaux et de portraits nazislamistes, de « soutien » au terrorisme inspiré par Mahomet et la tradition islamique.
Idem à Londres, mais aussi aux Etats-Unis, où la chaîne CBN a tourné ce reportage que vous ne verrez peut-être pas sur TF1 ou France 2 :
Certes, ces images qui font froid dans le dos ont tout de même un avantage. Elles aident à la prise de conscience internationale sur l'islam. Les Américains qui jadis fustigeaient notre impossibilité d'« intégrer » les musulmans en France commencent à comprendre, cinq ans après le 11 septembre, que la vérité est ailleurs. Le problème de fond est bien cette idéologie radicale que porte la religion de Mahomet depuis son origine, depuis ce Coran qui compare les Juifs à des singes et des porcs et qui appellent à leur extermination, depuis ce « prophète » qui appliqua une « solution finale » bien avant Hitler. A New-York comme à Londres et Paris, certains résidents musulmans n'hésitent pas aujourd'hui à montrer leur vrai visage de haine de l'Occident et de sa civilisation.
Mais revenons en France.
Je suis stupéfait de l'absence totale de réactions, et a fortiori de condamnations, par la classe politique et médiatique devant ces défilés racistes et fascistes. Certes, je ne me fais plus d'illusion sur la Chiraquie, quand son ministre des Affaires Etrangères ose adouber son homologue nazislamiste d'Iran dans une rencontre officielle relayée par le site même du Quai d'Orsay.
On a comparé cette rencontre honteuse à Montoire, c'est pire. Pétain avait lutté contre les nazis avant de s'incliner devant le vainqueur. Douste-Blazy et Chirac, quant à eux, pactisent avec l'ennemi avant même de combattre. Et après ça, ces collabos osent prétendre lutter contre l'« islam radical ». Mais quels faux-culs !
Je ne me faire d'illusion non plus sur l'extrême-gauche. Le Parti Communiste, en compagnie des fascistes verts des réseaux Ramadan, envoie une « délégation » à Beyrouth pour rencontrer… les chefs du Hezbollah ! Sainte alliance entre la faucille et le sabre mahométan, à laquelle nous ont habitués depuis longtemps le Mrap et autres « indigènes » anti-français.
Après l'allégeance à Moscou et aux Soviets responsables de 100 millions de morts, les mêmes font alliance avec le terrorisme musulman. On ne se refait pas.
On peut par contre être plus surpris de l'absence totale de réactions de la part des quelques personnalités de l'UMP qui osent dénoncer l'islamisation de la France, et aussi d'organisations droitsdelhommistes qui, même si on peut leur reprocher certains aspects, laissaient entendre jusqu'à présent qu'elles combattaient les racistes islamistes.
On ne peut que constater le silence assourdissant de la Licra, de SOS-Racisme, de Ni Putes Ni Soumises sur les complicités entre certains musulmans de l'Hexagone et les tueurs du Hezbollah et du Hamas. Silence radio également au Parti Socialiste. (Notons toutefois que Bertrand Delanoë a refusé à ses alliés verts et communistes d'apposer sur la façade de l'Hôtel de Ville de Paris une banderole en « hommage » à la « résistance libanaise », c'est-à-dire, dans le jargon euphémique de ces faux-culs, au Hezbollah terroriste.)
Le peuple de France est donc bien seul à vouloir résister à ce terrorisme intellectuel, qui est le pendant et le soutien du terrorisme réel du Hamas et du Hezbollah.
Qui aura le courage de demander la dissolution et l'inculpation de tous ces propagandistes de la haine et du jihad ?
Quand va-t-on enfin éradiquer l'UOIF, filiale française de l'internationale terroriste des Frères Musulmans, qui soutient officiellement les leaders « spirituels » (sic) du Hamas mis hors d'état de nuire par Israël ?
Quand va-t-on éradiquer ces officines de propagande que sont le Mrap, les Indigènes de la Républiques, les réseaux Ramadan, et autres mejliss.com ?
La tâche est immense. Même si seulement une minorité des gens d'origine musulmane qui résident en France sont des activistes du jihad, le réseau de soutien constitué par tous ces collabos et tous ces groupuscules est une véritable pieuvre qui gangrène la société civile et qui attise la haine entre les communautés.
Certes, des gens comme Mouloud Aounit ne posent pas de bombes, mais tous leurs discours justifie les fanatiques musulmans et leur apportent une caution idéologique et victimaire.
Je ne sais comment il faudra lutter contre ces « Hezbollah Jugend » de l'intérieur et leurs idiots utiles.
Nous avons les armes électorales, et celles des médias parallèles en particulier sur Internet.
Nous avons également l'arme judiciaire, au nom de la lutte contre le racisme et la haine.
Hélas ces moyens d'action sont bien limitées, alors même que le gouvernement ferme les yeux, voire joue les collabos, et que la justice est elle aussi victime d'idéologues totalitaires.
Mais ce dont je suis sûr, c'est qu'on éradiquera pas le nazislamisme sans donner un grand coup de balai sur notre propre sol.
L'enjeu contre le terrorisme islamique est certes planétaire, mais la France est l'un des pays où le risque est le plus élevé à cause d'une part de son islamisation, et d'autre part de tous ces terroristes intellectuels qui imposent leur idéologie néofasciste, hier rouge, aujourd'hui verte.
Nous devons donc rechercher en dehors de l'Hexagone toutes les alliances qui nous aideront à chasser la bête immonde du pays des droits de l'Homme.